Accès secrétariat d'Etat

Il avait eu écho quelques personnes devait encore venir. LE garde vit arriver un gente dame. Il avait
du se tenir un peu afin d'éviter d'en baver.

Bonjour, Dame du Chesne, le premier secretaire me demande de vous accompagner jusqu'à
l'entrée de la salle d'entretien :

https://curiarr.forumactif.org/t9392-entretien-avec-anneso-pour-le-perigord-angoumois

La blonde d’Evrecy en entendant son nom résonner dans la salle, se retourna cherchant qui l’appelait au milieu de cet endroit passant, elle avisa un homme, un garde/huissier. Elle s’avança vers lui un sourire au visage, s’arrêtant devant lui sans dire mot, elle remonta son index sous son propre menton en donnant deux petits coups discrets, le fixant de son regard pers malicieux. Et ensuite lui indiqua toujours de l’index sa bouche à lui qui dont le menton semblait avoir décroché, amusée par cette situation, et en dehors d’afficher un minois mutin. Elle reprit son sérieux protocolaire.

Bonjour ! Vous me guidez et bien c’est parfait les lieux sont immenses plus que n’importe quelque château que je pu visiter. Je vous en remercie vivement….

Un fois son menton relevé il avait repris un air sérieux et lui indiquait le dédale d’un bras en avant poli, les couloirs à suivre.

Dites j’imagine que vous allez ensuite retourner dans la salle des cents pas ? Ne vous étonnez pas de voir arriver un homme d’une taille un peu plus grande que la moyenne, et surtout aux cheveux blonds très, blonds parlant avec un léger accent. Il doit venir m’attendre. Dites-vous aimez la soule ?

Si il aimait et bien il trouverait à qui parler, sinon il risquait de mettre Søren à la porte, car quand il parlait surtout de choses le passionnant il pouvait être loquasse son blond.

Alors, pour ceux qui se posent des questions, le quartier du parc des princes, c'est bruyant. Ça crie tout le temps. Les vendeurs n'arrêtent pas de se balancer des poissons pourries au travers de la tête, de s'invectiver, de casser les fenêtres de leurs concurrents. Pffff...Pire que les bas-fonds du Périgord! Sarlace ou Périgueuse, à côté de ça, c'est de la petite bière blonde! Finalement, quand on arrive à passer, on peut enfin trouver l'accès à la faculté de médecine de l'Hôtel-Dieu, et vanter la qualité de ces soules exceptionnelles que je ramène de Bergerac. Pas de chance pour moi, cette fois, le médecin qui m'a reçu n'était pas celui avec lequel je correspondais habituellement. Il a fallu que je le explique que le docteur Laliberté est au fait de tout, que ces soules sont des artifices qui se glissent sous les robes des dames pour rehausser de manière conséquente un décolleté. La souplesse de la vessie de porc, il n'y a rien de mieux pour simuler la sensualité de la peau humaine. Tant à la vue qu'au toucher! Et là de partir dans un grand discours disant que ces soules là avaient été spécialement sélectionnées pour cet usage bien particulier, que cela justifiait donc leur prix plus élevé et que s'il avait un doute, il fallait qu'il en dispute avec le docteur Laliberté ou à défaut, Leportel62, qui est un éminent arbitre de soule!

Bref, il m'avait finalement fallu l'emmener dans une taverne, descendre quelques bières en sa compagnie pour qu'il accepte enfin de me payer pour ma livraison. C'est donc avec un esprit ouvert que je me rends à la Curia afin de voir si ma blonde a terminé son entretien. Quand j'en ai parlé en taverne, les gars m'ont dit que cet entretien s'appelait "la révision d'émile". Va falloir qu'Anne m'explique cette subtilité!

Arrivé dans le vestibule...Personne! L'endroit est vide! Hum...Et si je me présentais comme candidat au secretariat d'état dans le Périgord-Angoumois? Est-ce qu'on me ferait passer un examen en même temps que la d'Evrecy? J'imagine sa tête... Concurrent elle et moi sur le même poste! Ça promet des soirées agitées en taverne en attendant les résultats!

- For fanden! Il y a quelqu'un ici? Je cherche une blonde de Normandie... Oh! Y'A QUELQU'UN?

Pffff... On n'est jamais mieux servi que par soi-même! Et si c'était cette porte là? Collant mon oreille à la porte j'écoute ce qui s'y dit. Hum...Non! Ce n'est pas la voix suave et sensuelle de ma blonde ça! Elle ne s'appelle pas Roger! Bon...Ben, il n'y a plus qu'à espérer qu'elle ne soit pas encore sortie. En attendant, ce fauteuil me parait confortable. Et cette table en face, parfaite pour reposer mes pieds!

Un petit paquet vient prendre place sur la table, non loin des pieds bottés. Il ne sera pas dit que je ne féliciterai pas ma blonde à ma façon pour avoir passé avec brio son entretien! Mais je doute qu'elle ait une idée de ce qu'il contient avant de l'ouvrir. Et je ne suis pas sur qu' elle devrait l'ouvrir ici! Ouais, il n'y a pas à dire : Paris c'est une grosse ville ennuyante, mais elle a quelques avantages.

Dès la réponse à sa missive, Alonzo s'était rendu à Paris, au palais de la curia afin de s'entretenir avec le premier secrétaire d'Etat Heimdal von Strass. Il parcourut ainsi les longs couloirs qu'il connaissait , pour les avoir arpenté quelques mois, en tant qu'intendant des finances .
Il repéra le garde, et les armes clouées sur une porte , ce devait être là !

Bonjour à vous ! Je suis Alonzo, ancien bailli d'Orléans. Je viens , suite à la convocation reçue hier soir, à un entretien avec sa grâce Heimdal von Strass, duc d'Outremer. Il semblerait que je sois attendu . Pourriez vous m'indiquer, garde, le lieu ou doit se passer l'échange ?

Le garde vit arriver pour une fois un homme à la porte du Secrétariat d'état.

Bonjour, Messire , Nous n'avons de pas de Duc d'Outremer...mais de Courtomer l'intonation
est un peu différente. Vous êtes attendu ici :
https://curiarr.forumactif.org/t9416-entretien-avec-alonso-pour-le-duche-d-orleans

L'italien rougit ce qui lui arrivait rarement, regardant le garde d'un air contrit, bredouillant des excuses . Il pensa un instant acheter le garde afin que celui ci se taise en lui faisant don d'une bouteille de vin , puis devant l'air sérieux de celui ci, se dit qu'il terminerait son séjour en geole parisienne si jamais l'idée franchissait ses lèvres.

Je suis désolé , navré de ma maladresse! J'espère que vous êtes discret ! Je vous suis jusqu' a la salle d'entretien

Puis il lui emboita le pas, se demandant ce que lui reserverait la suite.

Le garde avait compris qu'on pouvait des fois se tromper et fit comprendre à Messire Alonso
qu'il ne dirait rien.

C'est ici :
https://curiarr.forumactif.org/t9416-entretien-avec-alonso-pour-le-duche-d-orleans

Après un passage dans l'aile de la Prévosté où il travaillait en tant que membre de la Garde Royale, Arcadhias se rendit dans l'Aile du Secrétariat d'Etat, suite à un courrier mentionnant sa candidature pour un poste vacant.
Arrivant à l'entrée, il se présenta donc.

Bien le bonsoir, je suis Arcadhias de Vaudalmm, postulant pour le poste de secrétaire d'état au Languedoc. On m'a signifiait de me rendre ice-lieu pour un entretien. Ne me suis-je pas tromper de lieu ?

Le garde vit arriver un nouvelle homme. Il n'avait vraiment pas pensé que ce travail était autant épuisant.
Il pensa de plus en plus à aller demander une augmentation.

En effet, vous êtes attendu. Dame Cléoaptre et le PSE vous attendent. je vais vous y conduire

Il l'amena jusqu'à la porte et lui indiqua qu'il pouvait entrer.

https://curiarr.forumactif.org/t9427-entretien-avec-arcadhias-pour-le-languedoc

On vous accompagne pour vous rendre dans une salle d’entretien, mais personne ne vous raccompagne pour retourner à l’entrée, et au milieu des couloirs des dédales, des portes il fallait avoir un peu le sens de l’orientation, et le stéréotype tout féminin qu’une femme se perd facilement, pouvait peut être s’appliquer chez la Blonde d’Evrecy. Après avoir bousculé un sieur qui semblait aussi perdu qu’elle, oui car après tous des hommes aussi ce perdaient. Elle ne prit certainement pas le chemin le plus court pour retrouver la salle « des Cent pas », car elle repensait à son entrevu avec le Premier Secrétaire d’Etat, c’était toujours étrange ce type de rendez-vous, car on vous posait des questions, mais on ne savait pas si on répondait juste ou pas, le but étant sans doute fait pour.

Elle reconnut allez savoir pourquoi une tapisserie qui avait attiré son œil à l'aller, elle était sur la bonne voie, maugréant tout de même encore un peu, car ensuite il allait falloir trouver un équipage pour retourner sur Paris et l’auberge pour rejoindre Søren elle avait hâte de lui expliquer comment cela c’était passé. Elle arriva vers ce qu’elle reconnut comme la sortie, quand une silhouette reconnaissable entre mille était là à quelque pas son Ange Blond. Un large sourire se dessina. Une envie subite de courir pour sauter dans ses bras, un petit regard à droite à gauche, elle haussa les épaules et se laissa aller à son désir. Elle releva une de ses jambes en arrière, ôta un premier escarpin, fit de même avec l’autre et prit un léger élan avant de se jeter à son cou.

Hum !!! Tu es là… Tu sais que j'adore quand tu me fais ce genre de surprise, toujours se surprendre n'est ce pas ?
Un soupire de bien être, elle était ravie, heureuse qu’il soit là et ils avaient je pense autant de choses à se raconter l’un l’autre. Elle fixa ses prunelles brillantes dans les siennes, ses lèvres n’étant qu’a quelques grains de blés des siennes, elle lui déroba un baiser, tant pis pour les lieux, le protocole et les manières.

Dis-moi ? Toi en premier, alors tu as rencontré des personnes intéressés par tes petites soules ?
Il faudrait tout de même qu’il lui explique pourquoi elles étaient plus petites, celles qu'il avait glissées dans ses malles. Il y avait-il donc peut être une autre sorte de jeu de soule que celui qu’elle avait vu et qu’elle ne connaissait pas.

J'arrivais au Palais des Offices et me rendis à l'accueil .

Bonjour Messire , Je me nomme Luc de la Ribauderie et suis attendu par le Premier Secrétaire d'Etat et le Chef de Cabinet pour un entretien privé dans le cadre du recrutement d'un Secrétaire d'Etat pour le Périgord-Angoumois .
Pourriez vous me dire ou je dois me rendre ?

Le garde vit arriver un autre homme. Il le dévisa et regarda sa liste

Bonjour Messire, hhmmmmmm oui tout à fait vous êtes attendu. JE vais vous indiquer la porte

Il l'amena jusqu'à la porte et lui indiqua qu'il pouvait entrer.

https://curiarr.forumactif.org/t9460-entretien-avec-luc-de-la-ribauderie-pour-le-perigord-angoumois#265824

Je saluais le garde

je vous remercie messire , une excellente fin de journée à vous .

La porte grince. Une paupière scandinave se lève. En sort une blonde cascade. Me redressant sur mon séant, j'attends que la candidate au poste de secrétaire d'état du Périgord-Angoumois tombe dans mes bras. Inutile de lui raconter mes déboires vécus entre temps, j'en aurais bien l'occasion plus tard.

- Mes respects dame d'Evrecy! Alors dites-moi, comment s'est passé votre entretien? Le sieur qui s'enferme dans son bureau pour accueillir toutes les beautés du royaume n'a pas été trop dur avec vous?

Vouvoiement… Un petit jeu entre nous. Pour prendre de la distance? Certainement pas car en moins de temps qu'il n'en faut pour dire ouf, mes bras se resserrent sur sa taille, l'attirant inexorablement vers le fauteuil où je me suis lamentablement vautré en l'attendant, m'endormant presque au passage.

- On dit que le premier secrétaire d'état est un séducteur. Je n'irai pas jusqu'à dire qu'il est volage mais… Hum…Dis-moi… A t-il tenté de te faire la cour? L'alençon est petit, bien trop petit quand on aime les femmes. Alors j'espère qu'il n'a pas cherché à trop profiter de la situation.

Sourire en coin. Chuchot de confidence dans une esgourde qui subit d'habitude d'autres genres d'outrages.

- Tu sais, d'étranges bruits sortent parfois des salles voisines. Je me demande bien quels instruments peuvent être à l'origine d'un tel émoi.

Les mains agrippent l'encolure de la chemise. Les bras se replient sur eux-même. Un buste vient s'appuyer contre une scandinave poitrine. Deux lèvres partent à la rencontre de leurs jumelles. Les paupières se ferment. Une bouche s'entr'ouvre.

- Toute peine mérite salaire.. Voyons voir de quelles manières je puis te revigorer après ce bien long entretien...

Vous en voulez plus? Vous êtes curieux. Bien trop curieux. Et puis, ce qui se passe dans ce couloir est à la limite du secret d'état du Périgord-Angoumois. Cela constitue un échange personnel et confidentiel, autorisé pour ses yeux seulement. Indécent? L'indécence n'est dans le regard que de celui qui juge. Me jugez-vous?

- Alors! Raconte-moi tout…Comment ça s'est passé? Quels genres de questions il t'a posé? A combien estimes-tu tes chances de devenir secrétaire d'état? Sais-tu ce qu'il y a dans ce paquetage juste à côté de moi? Est-ce terminé ou as-tu encore une épreuve à passer? Sais-tu dans quels boutiques je suis allé passer mon temps? Y'a t-il des candidats au poste de secrétaire d'état du Périgord-Angoumois? J'espère au moins que tu me trouves bien plus séduisant que lui.. Quand aurais-tu la réponse définitive? Tu veux ouvrir le paquetage?

Ses bras… Hum !! Le plus doux des refuges, nul besoin de château, de maisonnée pour parler comme dans « la Haute », être enveloppés par eux c’était un peu comme être au Louvre – Même si pour l’heure ils y étaient – Mais pour revenir à ses bras, c’était se baigner dans un grand luxe frôlant l’insolence, tout en étant dans une forteresse des plus rassurantes. Car pour ceux n’ayant pas fait attention à sa carrure c’était du 255 au bas mot et on ne pouvait faire plus que ce que le Danois affichait sous sa chemise.

Et bien pour tout te dire, ils étaient deux, il n’y avait pas que le Premier Secrétaire d’Etat, il y avait aussi son chef de cabinet des régions du Nord. Tu vois sans doute qu’ils devaient se douter que même si nous habitons et nous dévouons dans le Sud-Ouest, le Nord doit être indiqué sur notre front..

Elle se mit à rire en l’écoutant, il parlait, ça elle le savait, les grincheux de service disaient même trop, mais pour elle ce n’était jamais de trop. Une, son accent qu’elle adorait et qui était le plus doux des murmures, et de deux son timbre de voix toujours en accord avec le moment, qui se faisait murmure quand ils étaient tous les deux à parler de choses que la décence ne permet même pas que l’auteur puisse vous évoquer ce que ces deux-là pouvaient se dire. Voix, qui se voulait exaltante quand il essayait de défendre ses valeurs. Ou bien qui était joyeuse, entraînant en taverne facilement dans des parties de franc éclat de rire, ceux s’aventurant dans une éventuelle danse des choppes avec gages à la clefs
Une approche discrète vers son oreille.

Tu sais je t’assure je n’ai pas croisé et décroisé mes jambes, je me suis souvenue des bonnes manières, j’avais juste ma petite aumônière posée sur mes genoux, mes mains essayaient de ne pas trop triturer les attaches. Mais si cela peut te rassurer, il va directement au but, une question rapide à toi de faire avec pour la réponse, et son visage était difficile à déchiffrer …Tout s’est déroulé, je pense comme cela devait se passer, studieusement.
Tu dis des bruits étranges venant des autres salles… ?? Bizarre ! Bizarre, je t'assure qu'il n'y avait pas de divan, il faudra que tu me racontes à quoi cela pouvait correspondre..

Et la d’un coup une envolée, un flot de questions pour le bouquet final, ses yeux s’ouvraient sur ses grand cils, le regardant, ne sachant pas par laquelle répondre. Quand un tilt se fit au milieu de ses propos « Un Paquetage ».

Oui tu es bien plus séduisant que lui, oui il y a quelqu’un d’autre qui postule aussi, non je ne sais pas quand j’aurais la réponse. Mais dis-moi il y a quoi dans ce paquet.

Un coup d’œil vers l’objet, ses yeux rieurs qui le fixent se demandant ce qu’il lui à rapporter de sa matinée passer à ses affaires et dans les ruelles de Paris. D’autres soules ? Non !!

ballian arriva dans le lieux et se rendit à l’accueil

bonsoir

je me nomme ballian , je viens de Touraine. je suis attendu par le premier secrétaire d’État et le chef du cabinet pour un entretien pour le poste de secrétaire d’État à la Touraine.

pourriez vous m'indiquer le chemin ou si je dois attendre ici ?

Le garde dormait tranquillement et fut surpris lorsqu'il fut réveillé par les paroles
de l'homme qui était devant lui.

eeeeee...vviii...bonjour Messire... je vais vous montrer.

Il l'amena jusqu'à la porte et lui indiqua qu'il pouvait entrer.

https://curiarr.forumactif.org/t9568-baillan-pour-le-poste-de-se-en-tourraine

Une missive avait été reçue en réponse à la sienne, la rapidité du messager avait impressionné le manchot, aussi, revêtant une cape rapidement il se hâta de se rentre à l'adresse indiqué.

Revoir ce bâtiment lui rappela moult souvenir, aussi, au garde en faction, il s'annonça, pas sur que ce dernier le reconnaisse

Bonjour à vous, j'ai reçu missive de sa Grâce Heimdal von Strass., me demandant de me présenter en ce lieu, aussi, je vous remercier de bien vouloir m'annoncer, mon nom est Toto.Dangely, seigneur de Vaissac.

Petite pause, reprendre sa respiration,

Je viens pour un entretien avec le chef de cabinet de sa Grâce et lui même pour un poste d'officier royal en Gascogne.

Le garde passait des journées très tranquille, c'est un job bien payé à rien faire.
Il vit soudainement arrivé un Sieur.

bonjour Messire... je vais vous montrer.

Il l'amena jusqu'à la porte et lui indiqua qu'il pouvait entrer.

https://curiarr.forumactif.org/t9647-totodangely-pour-le-poste-de-se-en-gasgogne

L'attente ne fut pas bien longue, un signe de tête en remerciement, puis suivre l'homme vers le lieu indiqué

Grand merci à vous

Bonjour je suis Xena de Thoisy et je viens pour un entretien avec messire Heimdal de Courtomer, von Strass !

Coup sur coup, il avait une deuxième personne qui arrivait...
Il allait se dire que l'été était plus reposant..il pourra dire
que c'est plus tôt le contraire.

bonjour Dame Xena.... je vais vous montrer.

Il l'amena jusqu'à la porte et lui indiqua qu'il pouvait entrer.

https://curiarr.forumactif.org/t9665-xena-pour-le-poste-de-se-en-toulouse
[/quote]

Bonjour bonjour. Je suis Siméon Charles, sa grandeur de Courtomer
le premier secrétaire d'état, m'a convié à venir icelieu me présenter.

Et au bancal d'attendre qu'on lui indique le lieu. Isham, le jeune maure, était dans son dos.

Le garde était perplexe...que devait-il faire et pourquoi il y avait deux personnes.

bonjour Messire Siméon Charles...Mais la personne qui est derrière vous...

Le garde détailla le maure...et regarda ensuite la personne qui s'était annoncée.
Il remarquait que quelques choses ne jouait pas...il vit alors les yeux..oui les yeux...
Ils sont bizarre.

Mon scribe. Isham. Fidele et travailleur malgré qu'il soit idiot.
A cause de mon âge j'ai besoin de lui pour lire et ses tracés sont bien plus beaux.

Il espérait que le maure ne lui en voudrait pas pour le sournois : "un peu idiot"