Je dépose mes fontes sur ma monture, et me remémore rapidement ce que j’ai pu y glisser. Je n’ai rien oublié en apparence, l’important étant ma bourse garnie, et les deux documents officiels reçus, le reste sera acheté sur place, s’il y a omission.
Je prends les chemins, et les jours s’écoulent de relais en relais, le tout d’une façon relativement monotone.
Mon arrivée sur Paris me fait le même effet à chaque fois, la ville est grande, mais La puanteur, vous prend à la gorge, mais je sais que d’ici quelques jours, je n’y prêterais pas plus attention que ceux que je croise.
Me repérant, d’après les indications transmises par Renlie, je me retrouve devant les bâtiments qui réunissent les institutions du Royaume.
Je laisse ma monture à un type semblant « ne faire que cela », je lui donne la pièce, avant de diriger mes pas vers ce qui semble l’Entrée et de m’adresser à un huissier pour me faire annoncer.
Robins d’Inker, je suis, enfin je l’espère attendu, au Cabinet des Finances.
Un trait d’humour rapide, même si je ne pense pas que l’homme est relevé. Me tenant droit, tout en observant les lieux, je prends patience.