Accueil pour les Ecuries et Vénerie Royales - ordres de chevaleries

Merci pour les clefs !

Bonjour,

je me nomme Gnaaz de borely,en tant que Maistre du Haras Royal récemment nommé je viens demander si possible d'avoir la clé des locaux.
Merci d'avance.

Le garde n'était qu'à peine prévenu que déjà le nouveau Maistre du Haras était à la porte. Clés des écuries... pas ce trousseau là, pas celui ci... ah le voici !
La clé fut tendue au sieur.

T'nez m'sieur. C'est tout droit. P'vez pas vous tromper, il y a les ch'vaux.
B'ne journée, hein.

Et bien j'y vais de se pas,merci hein.

Il lui sourit et alla voir cela

Il avait mûrement réfléchi avant de prendre sa décision. Et finalement sa passion pour la vénerie l'avait emporté. Mais il n'avait pas écris de lettre, préférant se présenter en personne. Il avait donc fait préparer son attelage, avait confié ses enfants aux soins de leur gouvernante, Maria, mais aussi de leur tante, Della, même si celle ci était loin d'être un modèle pour eux. Le carrosse, aux armes du Renart, avait quitté Beaumont en fin de matinée. Celui ci avançait à bonne allure, et il suffit d'une seule halte avant de gagner la capitale du Royaume des Lys. Ils étaient arrivés en fin de journée et Eldwin s'était installé dans une bonne auberge de la ville. Le lendemain il était prêt à se rendre aux bureaux des Grands Offices de la Couronne. Pierre l'avait aidé à revêtir ses vêtements de prêtres, d'un violet sombre, austères mais d'une qualité sans pareil. Made in Italia ! Le carrosse l'avait donc conduit au siège des Ecuries royales. Accueilli par un serviteur il se présenta et annonça la raison de sa venue.

Je suis le Père Eldwin de Volvent, seigneur de Nouâtre. Je souhaiterais obtenir une audience auprès du Grand Ecuyer de France, ou bien du Grand Veneur si c'est lui qui s'en occupe, pour postuler à l'une des charges vacantes au sein des Chasses Royales.

Le serviteur prit bonne note de ses paroles, invita Eldwin a patienter dans l'antichambre, pendant qu'il disparaissait pour aller quérir une réponse à la demande du visiteur. Eldwin prit alors place devant la fenêtre et observa l'extérieur pour passer le temps.

Naluria avait été prévenue qu'un homme souhaitait s'entretenir avec elle. Le page avait fait de son mieux, elle espérait cependant que l'homme n'avait pas trop attendu. A ce qu'en disait le page, l'homme souhaitait postuler à un poste des chasses royales.

Le page l'accompagna jusqu'à l'antichambre où il avait laissé l'homme. Elle frappa afin de se faire annoncer puis entra avec un sourire tendre. A la vision de la soutane elle baissa pieusement la tête pour saluer le représentant du Très-Haut.

Bonjour mon père.

Elle lui présenta un siège.

J'espère que le voyage jusqu'à Paris fut bon. Installez vous, nous serons ainsi plus à même de discuter de votre venue.

Elle sourit puis fit signe au page de refermer la porte.

Lorsque l'on annonça l'arrivée du Grand Veneur Eldwin s'écarta de la fenêtre et revint vers la porte. Il découvrit alors une charmante femme, qu'il connaissait seulement de nom. La saluant d'une légère inclination du buste il s'assit dans le siège qu'elle lui présentât. Souriante, Eldwin, confiant, se dit que l'entrevue serait, quel qu'en soit son résultat, agréable.

Bonjour, ma dame. Le voyage fut très bien, bien qu'un peu cahoteux dans certains lieux où les routes sont des plus déplorables, je vous remercie de vous en soucier.

Il se tut quelques secondes avant de reprendre. Il était là, et il n'était pas du genre à faire machine arrière ou tourner autour du pot, il mit donc les pieds dans le plat, comme l'on disait vulgairement.

Comme on a dû vous le faire savoir, si je suis ici, c'est que je souhaite postuler à une charge au sein des Chasses Royales. Et plus précisément à celle de Grand Louvetier. Je sais bien que ma démarche peut paraître surprenante en raison de mon rang. Mais sachez que mon ordination est tardive, et que je ne suis pas prêtre depuis moult années. Et puis l'art de la vénerie n'est pas réservée aux seuls laïcs. D'ailleurs, même si je porte la soutane, je n'ai jamais cessé de continuer à chasser. Depuis ma plus tendre enfance j'ai parcouru les forêts bourguignonnes, puis celles de nombreuses provinces, pour satisfaire ma passion de la chasse. Mon père, que le Très-Haut est son âme, m'a transmis son amour de ce grand art. Et encore aujourd'hui je garde une grande passion pour la chasse et un extrême plaisir à chasser, bien que certaines choses d'ordre spirituel m'en éloignent quelque peu parfois.

Ayant assez parlé, pour le moment, Eldwin se tut et attendit, impassible, la réaction et la réponse du Grand Veneur. Il avait présenté sa candidature, ses raisons premières, si elle souhaitait aller plus loin il pourrait ensuite lui faire part de ses compétences et ses motivations.

Naluria s'assied tandis que le père répondait à la question portant sur le voyage. Elle sourit puis l'écouta, préférant être à la même hauteur que son interlocuteur, ne créant pas ainsi une quelconque supériorité. Il est en effet plus agréable de parler d'égal à égal, surtout que c'était la vision qu'elle voulait montrer des chasses royales.

Son sourire se fit plus large lorsque l'homme répondit à l'étonnement qu'elle s'était posé intérieurement. En effet, un religieux qui apprécie la chasse et fait le choix d'abattre une créature du Très-Haut est surprenant. Indirectement, elle était amusée de voir que parfois l'on pouvait lire dans ses pensées.

Elle écouta ensuite plus sérieusement le Père Eldwin, expliquant sa récente ordination et son amour de la chasse, souvenir d'enfance qu'il souhaitait préserver. Et ca, elle le comprenait.

Elle lui sourit avant de prendre la parole.

Toute mes condoléances pour feu votre père. Je sais trop bien que la perte d'un être cher est fortement douloureux.

Elle baissa les yeux quelques secondes, comme pour cacher ses pensées profondes puis repris.

Pouvez-vous me dire pourquoi la chasse aux loups vous intéresse plus que les autres chasses ? De même, comment voyez vous la charge de Grand Louvetier et que pensez-vous apporter à l'office ?

La jeune femme était charmante et visiblement assez disposé à son égard, ce qui rassura et réconforta Eldwin, qui avait quand même gardé certains doutes quant à sa démarche. Aux premiers mots du Grand Veneur il secoua doucement la tête de gauche à droite.

Oh je vous remercie mais mon père à rejoint les Cieux depuis bien longtemps à présent, la douleur de sa perte a depuis longtemps été épanché.

Pour le coup Eldwin mentait. Il avait pleuré le décès de sa mère, mais pas celui de son père. Cet homme dur et froid, comme il l'était devenu à son tour, lui avait tout appris, c'était vrai, mais ne lui avait jamais témoigné l'amour d'un père pour son fils. Il avait seulement vu en Eldwin son héritier, celui qui devait perpétuer et faire grandir le nom de leur famille. Puis, chassant ces pensées, il se concentra sur les questions de Naluria. Il réfléchit un instant avant de lui répondre.

Pour répondre à votre première question je dirais que c'est mon désir de protéger mon prochain et les enfants du Très-Haut, combiné à ma passion pour la chasse, qui me fait aimer particulièrement les chasses aux loups. Les loups sont un fléaux qui terrorise nos campagnes et les serviteurs de notre Roy. La grande vénerie est depuis quelques années préférée par les seigneurs de notre Royaume, et la louveterie délaissée. Ce qui a permis aux loups de se multiplier et d'accroître le danger qu'ils représentent. Les loups ont leur place sur cette Terre, comme en a voulu le Tout-Puissant, mais c'est notre devoir de réguler leur population pour qu'elle ne soit plus une menace pour nos familles.

Il fit une petite pause avant de poursuivre et de répondre à la seconde question de la dame.

Le but du Grand Louvetier est d'organiser la chasse aux loups dans les différentes provinces du Roy. Bien entendu, il faut avant tout pouvoir s'entourer de professionnels de la louveterie. Cela fait, et si j'ai l'honneur d'être choisi pour exercer cette charge, je proposerais à Sa Majesté le Roy et à la Cour de participer à des chasses au loup. Car il ne faut pas oublier le plaisir de la chasse derrière l'intérêt de limiter la population des loups dans le Royaume. Enfin, je pense apporter tout d'abord mes connaissances de la chasse mais aussi une force de caractère et une aptitude à commander non négligeable, selon moi, lors de telles chasses.

Les réponses satisfaisait Naluria, cependant la dernière phrase n'était pas à l'image de l'homme, du moins avec sa soutane. Elle voulait donc en savoir plus.

Mon père, je suis satisfaite de vos réponses au sujet de la chasse aux loups... Mais votre aptitude à commander non négligeable me fait m'interroger.

Que faisiez vous avant d'être ordonné ?

Elle fit une pause.

En fait, je ne désire pas d'une hiérarchie trop abrupte au sein des chasses royales. S'il est que j'en suis le chef, j'écoute les erreurs que mes collègues me font remarquer par exemple. Comment pouvez vous m'expliquer votre façon de commander je vous prie.

Cette question était un peu inutile. Si Eldwin lui plaisait elle le prendrait, s'il s'avérait qu'il ne convenait pas aux chasses comme le voyait le Grand Veneur, elle ne manquerait pas de le faire savoir. Mais bon, vaut mieux prévenir que guérir.

Eldwin hocha la tête à la réponse de Naluria et sa question. Il comprenait que ses derniers mots puissent paraître étonnant, surtout venant d'un prêtre. Et en son for intérieur il reconnaissait lui-même avoir mal exprimé ce qu'il désirait lui dire. Il répondit alors, d'un ton qui se voulait rassurant, pour rassurer le Grand Veneur.

Je n'entendais pas faire des Chasses Royales un camp militaire, rassurez-vous. Ce que je voulais dire c'est que j'avais les compétences nécessaires pour commander et diriger un équipage. Car comme vous le savez la chasse requiert rigueur et quelque peu de discipline bien que soit avant tout un plaisir et un divertissement. Bien entendu, comme tout homme je suis faillible, et je sais également entendre et reconnaître mes erreurs.

Il s'arrêta. Il n'avait pas répondu à la question de Naluria, hésitant à le faire, l'enseignement qu'il avait reçu avant de se marier, fonder une famille, enterrer sa femme et devenir prêtre n'étant pas pour lui un bon souvenir. Malgré tout, d'un ton un plus hésitant qu'avant, il répondit.

Je reçus un enseignement politique et militaire avant de me diriger vers la prêtrise. J'étais destiné à une carrière militaire au sein de l'Ost bourguignon, étant aîné de ma famille ...

Naluria écoutait le prêtre avec attention. Il avait expliqué plus précisément son sens de commandement. Il semblait une personne droite et franche, cela plaisait au Grand Veneur qui avait bien du mal à trouver des personnes en qui elle pouvait entièrement faire confiance. Peut être tentait elle de refonder une famille autour d'elle, la même que celle qu'elle avait perdu avec la dissolution du Saint Esprit. Un militaire. Naluria sourit, il ne pouvait qu'être un homme bien. Elle même militaire, la guerre était malgré son horreur, sa plus fidèle et plus grande famille. Puis son visage s'élargie quand il dit qu'il était bourguinon. Bourgogne/BA, Persan/Naluria, les relations semblaient bien avoir changées.

Je pense que vous comprendrez que je souhaite, du moins si vous entrer dans la famille des chasses royales, que vous veniez en civil ou en livrée de Grand Louvetier et que le terme de Père, d'usage pour les religieux ne soit pas appliqué. Du moins tant que vous n'informez pas vous même les officiers des chasses de votre statut de religieux.

Elle reprit son sérieux puis posa une dernière question.

Je m'excuse d'ors et déjà de la question que je vais vous poser, et vous pouvez ne pas répondre si elle est indiscrète, mais quels liens entretenez vous avec Messire Gabriel de Volvent ?

Eldwin rit intérieurement aux paroles de Naluria. Il s'imaginait chassant en soutane. Visiblement elle n'avait encore chassé avec aucun prêtre. Ils ne portaient pas jour et nuit leurs robes, fort heureusement. Et lorsqu'il chassait Eldwin avait une tenue bien plus appropriée que ses tissus en soie précieuse venue d'Italie. Quant à l'appellation il s'en accommoderait, du moment qu'on l'appel par sa fonction. Il répondit donc, un peu amusé, au Grand Veneur.

Oh rassurez vous je ne chasse jamais en soutane, c'est assez incommodant, ne serait-ce que pour monter à cheval. J'ai ce qu'il faut en tenue de chasse, et bien entendu si j'étais appeler à devenir Grand Louvetier je vêtirai la livrée propre à cette fonction. Quant à me faire appeler mon Père je comprends tout à fait, et c'est bien entendu que j'accepterais de me faire appeler selon ma charge.

Sa nouvelle question étonna Eldwin, tout autan que la manière dont elle l'amena. Elle connaissait Gabriel. Quelles relations entretenait-elle avec lui. Ses liens de parentés avec le jeune homme lui seraient-ils bénéfiques ou au contraire cela réduirait-il à néant sa démarche ? Ne pouvant le savoir il lui répondit en toute vérité, espérant que cela ne lui serait pas préjudiciable.

Et bien, Gabriel est le fils d'un de mes cousins. Un petit cousin donc. Vous le connaissez ?

Le jeune de Volvent était donc un petit cousin, elle en prit note sur une tablette de cire qu'elle venait de sortir puis releva la tête en souriant.

Je ne le connais pas vraiment non. J'ai juste eu un entretien avec lui.

Elle referma sa tablette de cire entre deux doigts.

Afin de parfaire cet entretien mon père, je vous invite à me faire parvenir un travail sur la chasse aux loups. Ainsi pourrais je lier votre assurance à vos compétences.

Votre travail sera de faire un cours pour les éventuels louvetiers dont vous aurez la charge.

Elle sourit et se lève.

Cela vous convient il ? Je suis très malléable et disposée à changer si cela ne vous convient guère.

Ainsi donc Gabriel s'intéressait lui aussi aux Chasses Royales. La passion de la vénerie était affaire de famille, cela se comprenait. Ce qu'elle lui demanda pour conclure leur entretien l'étonna. Sa nomination reposait donc sur un cours. Oh cela ne le rebutait pas, bien au contraire, il était érudit et aimait enseigner aux autres, même si d'habitudes c'était des choses d'ordre théologique. Il trouvait seulement la chose un peu étonnante. Eldwin, imitant le Grand Veneur, se leva à son tour et d'un ton aimable lui répondit.

Ma foi oui cela me convient parfaitement. Il ne devrait pas être trop malaisé de réaliser pareil travail assez rapidement. Je vous remercie pour m'avoir reçu et écouté ma Dame. J'espère vous revoir prochainement. Et quoi qu'il en soit que le Très-Haut vous garde, je vous souhaite une bonne journée.

Il inclina la tête en signe de salut puis se retira. Remontant dans son carrosse il ne se fit pas conduire à l'auberge où il dormait mais à l'Université du Royaume. Il allait se mettre au travail prestement.

Naluria sourit à l'homme tout en l'accompagnant hors de la salle. Elle attendrait patiemment le résultat du travail du Père Eldwin puis elle alla rejoindre ses confrères pour parler de l'entretien qu'elle venait de faire passer.

Un homme, vêtu de noir, avec frappé, sur son dos, son coeur et ses épaules, une croix de Malte blanche, collier de la chevalerie Hospitalière au cou, épée battant son flanc gauche et cheveux en bataille, arriva.

J'ai une invitation de la part de Zalina De Montmorency, Grand Ecuyer de France, concernant l'Ordre Royal de l'Hospital.

Annoncez son cousin, Snipy.

Le garde avait laissé le père et le Grand Veneur tranquille. Il ne se rapprocha de l’entrée qu’à l’arriver d’un nouveau.
Cousin Snipy… non, pas sur la liste. Mais il y avait un Hospitalier d’attendu, un De Montmorency. Ce doit être çà.
Notre bon homme s’avança et donna la clé que lui avait confiée la patronne dans la matinée.

B’jour m’sieur. L’Salon est un peu plus loin. P’vez pas vous tromper.
Bo’ne jou’née, m’sieur.

Jipdoly se sentait assez impressionnée par la beauté du lieu...
Intimidée, elle s'avança et avisant un garde qui se tenait là....

Dites moi soldat, sauriez vous où je puis trouver la Grande Écuyère de France,Dame Zalina?

Jipdoly regarda le garde, attendant nerveuse sa réponse.

Tien, une arrivée pour les Ecuries. Ca faisait longtemps.

B'jour m'dame.
La Grand Ecuyer d'France ? Oh ba à s't'heure, elle doit être dans son bureau... Mais pour vous laisser passer, m'faut votre nom.
C'est qu'la patronne, elle rigole pas avec çà...

Jipdoly contemplait toujours le mur quand une voix la fit sursauter.

Zalina a écrit:: Tien, une arrivée pour les Ecuries. Ca faisait longtemps.
B'jour m'dame.
La Grand Ecuyer d'France ? Oh ba à s't'heure, elle doit être dans son bureau... Mais pour vous laisser passer, m'faut votre nom.
C'est qu'la patronne, elle rigole pas avec çà...

Mon nom Dame?
Et bien, je me nomme Jipdoly de Montpensier.

Notre bon garde jeta un oeil sur sa liste à la recherche d'une Jipdoly de Montpensier. Et finit par la trouver : attendue aux Ecuries.
Il rangea le parchemin et tendit une clé à la visiteuse.

T'nez m'dame. C'est tout droit. P'vez pas vous tromper, s'fit suivre l'bruit des ch'vaux.
La Patronne vous y r'trouvera bien si elle y'é pas déjà.
B'ne journée, m'dame.

Une fois la lettre de sa nomination arrivée, MacCornell avait fait ses paquets et avait pris le chemin des offices royaux. Lorsqu'il arriva, il secoua ses vêtements et se présenta aux gardes. Il leur tendit la patente avec le sceau du Grand Veneur pour appuyer ses dires.

Bonjour,
Je suis MacCornell du Lyonnais-Dauphiné, nouveau Grand Louvetier. Pourriez-vous me menez au quartiers de la Vénerie Royale ?

Après vérification du document et de la tête de l'embrunais, le chef du poste de garde envoya un homme pour accompagner le nouvel arrivant.

Bonjour !

Je souhaiterais poser ma candidature au poste d'Ecuyer Royal.
J'avais répondu à l'appel à candidature pour le Maistre du Haras Royal, mais le Grand Ecuyer de France a souhaite que je marque d'abord mon intérêt comme Ecuyer, ce que je ne manquerai pas de faire, que je meure si je m'en dédie.

Puis-je connaitre la marche à suivre ?

Le garde était en train de rêvasser quand un homme s'avança vers lui.
Candidature pour les écuries royales, marche à suivre pour la déposer... Le garde se frotta le menton et fit une moue.

La patronne m'a prévenu d'l'arriver d'un nouveau. Si vous m'donnez v'tre nom, j'pourrai pt'être vous laisser entrer, si vous êtes bien m'sieur qu'elle m'a dit.
C'ra plus simple que r'voyer une missive à la patronne, v'yez ?

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