Accueil pour les Ecuries et Vénerie Royales - ordres de chevaleries

Umondel vit s'approcher le garde et lui répondit

Vous avez mille fois raison.
Je suis Umondel de Virloinval. Dame Zalina m'a demandé de me présenter ici.

Une petite note dans le coin de la cervelle et un coup d'oeil sur les registres plus tard, le nom correspondait bien à la personne attendue. Le garde tendit les clés au nouvel écuyer.

T'nez m'sieu. C'est tout droit. P'vez pas vous tromper, s'fit suivre l'bruit et l'odeur des canassons.
B'ne journée, m'sieur.

Umondel se mit à renifler l'air ambiant, et se dirigea donc au pif... situation cocace...

Merci !

Persevael arriva après avoir pu brièvement parler avec la Grand Ecuyer de France concernant un poste au sein des Ecuries Royales. Vêtu d'une légère armure aux couleurs flamandes, le jeune blond aux cheveux ébouriffés n'étaient pas très à l'aise pour le moment.

Bonjour... Je viens postuler pour le poste d'Ecuyer Royal, ayant été redirigé en icelieu par la Grand Ecuyer de France.

Puis, le jeune Gilraen se rappela du plus important ; la présentation.

Oh, j'oubliais l'essentiel. Je me nomme Persevael Louis de Gilraen.

Ba dites donc, c'est qu'elles recrutent les Ecuries en c'moment... troisième écuyer qui passait en peu de temps.
L'arrivant lui donnant son nom, le garde vérifia son registre. Il y avait un Persevael Louis de Gilraen de Dénéré. Ce devait être le même... Il prit donc un jeu de clés et le tendit au jeune homme.

B'jour m'sieur.
V'là pour vous. Vous pouvez y'aller. Les écuries sont à la tourelle Nord.
Suivez l'bruit des canassons et vous pourrez pas les rater.
B'ne journée m'sieur.

(Ce RP se déroule après un RP collégial qui doit se commencer demain sur le forum secondaire --> Vincennes, mais je l'entame ce jour pour des questions de commodités HRP. Merci de votre compréhension !)

Maëlie ne se lassait toujours pas des contrastes violents qui faisaient la particularité de Paris et ses alentours : tant de richesses et tant de beauté cotoyant en même temps une laideur concentrée par une densité rare de population. La tête lui en tournait encore, lorsqu'elle se rendit enfin là où elle était attendue. Du moins l'espérait-elle.
La beauté de ces lieux n'avait pas quitté son souvenir, depuis qu'elle y avait séjourné au titre de Probost de Lengadòc, un an plus tôt. Que de choses avaient changées depuis ! Elle se sentait mal à l'aise, engoncée dans une robe et un manteau d'une simplicité frisant l'indigeance, comme une tâche sur un si beau tableau.
Mais c'est avec un sourire apparemment serein qu'elle se présenta, hêlant le garde présent d'une voix où chantait l'accent d'òc.

Adissiatz, messer garde ! Auriez-vous la gentillesse d'annoncer Mestra Maëlie pour les Ecuries Royales, je vous prie ? Il me semble que c'est bien ici que je suis sensée me présenter.

Et de le gratifier de son plus charmant sourire dans l'attente de sa réponse.

C'est un garde un peu gelé qui se présenta avec un sourire aux lèvres devenues bleues à la Dame qui arrivait. L'accent chantant d'oc lui réchauffa un peu le coeur mais pas les mains qu'il frixonnait autant qu'il le pouvait.

B'jour m'dame. Pas chaud aujourd'hui hein ?
Pour les Ecuries, ouais, c'est ben là. Mestra Maëlie vous avez dit ? T'endez voir...

Un bref coup d'oeil sur la liste des personnes attendues... Une nouvelle Ecuyère était attendue portant ce nom. Il sortit donc un trousseau de clés qu'il lui tendit.

T'nez m'dame. Les écuries sont tout droit. Vous entendrez les ch'vaux en approchant.
B'ne journée, m'dame.

La jeune femme eut un sourire compatissant à l'adresse du pauvre garde : elle-même devait admettre que son Sud clément lui manquait. Soufflant doucement sur ses mains en hochant la tête pour le remercier.

Mercè... et bon courage !

Puis sans plus attendre, elle s'avança en suivant ses instructions, c'est-à-dire en ouvrant grand les oreilles et les narines.

Christina venait de quitter son Languedoc natal pour se rendre aux grandes écuries royales. Le contraste entre son village, soit charmant, et le faste de ce lieu qu'elle découvrait pour la première fois, l'éblouissait. Le coeur serré et tout à la fois palpitant à l'idée de rejoindre ce lieu, c'est avec un grand sourire qu'elle s'adressa au garde en faction.

Bonjorn Sir.

Je me nomme Christina, je suis Languedocienne et présentement ici pour rejoindre les écuries royales.

Auriez-vous l'amabilité de me guider ?

Elle regardait le garde droit dans les yeux avec insistance afin qu'il ne s'occupe que d'elle et qu'il réponde rapidement à sa demande.

Chouette chouette chouette, de la visite !! Et une bien beau brun de fille en plus. Avec de sacrées jolies billes qui le fixaient. Rien de tel pour rendre notre garde de bonne humeur. Non parce que là, il avait une touche notre bon homme. Zavez vu comment elle le regarde avec son beau sourire ?
Pour le coup, le garde se fit tout sourire lui aussi et essaya de faire un peu plus classe qu'à son habitude.

Biiiiiiiiien la bonne journée, ma p'tite dame.
Alors comme çà vous voulez r'joindre les écuries Royales ? C'est une bien bonne idée çà...
Christina, du Languedoc vous avez dit. C'est là un bien jolie prénom pour une bien jolie jeune Dame.

Il adressa un clin d'oeil qui se voulait charmeur à la visiteuse et vérifia le nom sur son registre. La nouvelle écuyère, elle y était bien. Un peu triste de déjà devoir la laisser passer, il lui tendit les clés.

V'là pour vous. Les écuries, elles sont tout droit.
Puis si vous vous ennuyez avec les canassons, rev'nez me voir pour boire un coup.

Un sourire des plus radieux illumina le visage de Christina en entendant le garde l'appeler "ma p'tite dame". La jeune femme n'en avait point l'habitude, mais ces mots l'amusèrent énormément. Elle essaya de ne point rire à son clin d'oeil et prit délicatement les clés tendues.

Merci bien, Sir.

J'ose espérer ne jamais m'ennuyer icelieu.

Déclinant ainsi l'invitation en essayant de ne point vexer le brave homme qui ne pouvait savoir à qui il s'adressait.

Bonne journée.

Christina regarda dans la direction indiquée et s'éloigna d'un pas léger.

Stephandra arriva sourire aux lèvres malgré le froid persistant. Elle regarda le garde à l'entrée le salua et s'adressa à lui

Bien le bonjour messire, je suis Stephandra j'aimerai rejoindre les écuries royales.
Pourriez vous m'indiquer la marche à suivre?

La jeune femme lui sourit et espérait intimement qu'il lui donnerait les clés comme lui avait écrit Dame Zalina, bien que Steph voyait plutôt cela comme une image.

Nom d'une galipette enrhumée, qu'est ce qu'il faisait froid en ce moment !! Et pas moyen de quitter le poste de garde pour aller se réchauffer un peu à la taverne du coin en compagnie de quelques bouteilles... et de la jolie d'moizelle qui était passée il y a quelques jours. Elle n'était pas revenu le saluer en plus... Pffff.
C'est par contre une autre d'zelle qui le fit en cette journée de janvier. Un peu de chaleur, enfin bien peu, pour ce pauvre garde.

B'jour m'dame.
La marche à suivre pour re'oindre les écuries ? Bin... faut l'accord d'la patronne...
V'tre nom m'dit qu'chose. Attendez voir... Stephandra z'avez dit ? Mmmm. Ouais, j'vous ai sur ma liste. L'Grand Ecuyer m'a prév'nu d'votre arrivé.

Vous v'là les clés. Les locaux sont tout droit en entrant. Suivez l'bruit des canassons.

La garde tendit un jeu de clés à la nouvelle et lui souhaita une bonne journée.

Stephandra observa avec attention le garde et l'écoutait parler, il semblait frigorifié le pauvre homme. Elle lorgna sur le jeu de clé tendue hé bien non ce n'était pas une image mais voilà bien la réalité, elle se pinça pour être sûre et d'une main franche mais délicate pris le jeu de clés.

Merci messire, merci bien, je vous souhaite la bonne journée également.

Elle s'inclina en lui souriant et tendit l'oreille pour entendre les bruits émis par les chevaux et se dirigea dans la direction.

Le Grand Maréchal arriva en direction d’une grande porte en bois quelques peu décomposé par le temps et surement aider par l’air glacial du couloir. Il salue d’un simple geste le garde et d’un léger coup de cape il dict;

Le Bonjour à vous Messer, je suis Sir Didier de Warenghien, actuel Grand Maréchal de l’Ordre Royal des Hospitaliers de Saint Jean de Jérusalem.

Je souhaite donc avoir l’accès en mes lieux d’attribution en cette charge et ensuite aller boire un Coup !

Saint Jean se presenta bientot devant la Grande porte.Un leger pincement au coeur de revenir en ces lieux qu'elle n'avait revu depuis des mois.Rien ne semblait y avoir changé.
Siva se presenta au garde et lui tendit un pli scellé,sans un mot,si ce n'etait une inclinaison du buste,la main droite posée sur son coeur

Citation :: Par cette lettre,

Nous, Snipy De Montmorency,

Autorisons l'accès aux salles de l'Ordre Royal de l'Hospital de Saint Jean de Jérusalem, de la Tourelle Nord des Offices de la Curia Regis.

A notre Soeur Siva d'Appérault Von Frayner d'Azayes, pour sa qualité de Héraut "Saint-Jean".

Nous apposons nostre scel garant de la qualité de cette lettre.

Faict le XXIII Janvier MCDLVIII,
En la Commanderie Générale de Châteauroux.

Snipy De Montmorency,
Grand-Maistre de l'Ordre Royal de l'Hospital de Saint Jean de Jérusalem.

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Deux visites d’un coup ? Ouah… Y avait il une fête dont il n’était pas au courant ?
Le garde salua les deux arrivants. Un coup d’œil à la liste des laisser-passers et il tendit un jeu de clés pour la Salon des Hospitaliers à la dame mais fit attendre le messire.

L’bon jour m’sieur, Dame.
Pour la Dame, la patente vaut laisser passer… Mais pour vous m’sieur, j’ai r’çu aucune instruction quant à vos accès au Salon d’votre Ordre…
Z’avez une patente vous aussi ?

Certe Oui, Grande Ecuyére de france. Je dispose d'une autorisation pour la Tourelle nord mais aussi d'une pré-autorisation pour la connétabilie.

Citation :: Par cette lettre,

Nous, Snipy De Montmorency,

Autorisons l'accès aux salles de l'Ordre Royal de l'Hospital de Saint Jean de Jérusalem, de la Tourelle Nord des Offices de la Curia Regis, ainsi que dans le futur, l'accès aux Salles de la Connétabilie, si cela se présente.

A notre Frère Grand Maréchal Dide, Seigneur de Campagne et Escuyer de la Croix de Gascogne, pour l'exercice de ses fonctions, en remplacement des accès du Chevalier Hook d'Aberdeen.

Nous apposons nostre scel garant de la qualité de cette lettre.

Faict le V Fesvrier MCDLVIII,
En la Commanderie Générale de Châteauroux.

Snipy De Montmorency,
Grand-Maistre de l'Ordre Royal de l'Hospital de Saint Jean de Jérusalem.

Heiin ? Pourquoi il l’appelait Grande Ecuyère de France le m’sieur ??? Qu’est ce qu’il a bu avant de venir ?
Bon d’accord, notre p’vre garde a besoin de faire un tour chez le barbier. Mais quand même.
Il leva un sourcil et prit la missive. Ba si autorisation du Grand Maistre des Hospitaliers pour accès au salon des Hospitaliers… Le garde sortit un trousseau de clés et lui tendit.

T’nez, m’sieur. V’là pour les accès au Salon de votre Ordre. Pour c’qu’est d’la Connétablie, j’vais faire passer votre missive au Connétable de France. J’ai pas les clés pour c’te partie.

Visiblement ne seul endroit qu'il ne connaissait pas encore de Paris... Les bureaux des grands officiers... Il en avait été proche un jour... Mais avait finalement refusé le poste qu'on lui proposait après avoir vu la liste de ceux qu'il côtoierais... Le regard droit devant lui, il observe le garde qui patiente derrière la herse de l'autre coté des douves... Bien que la bâtisse soit moins importante, cet endroit lui rappel vaguement Ryes... Il se souviens que son père le lui avait déjà dit lorsqu'il était plus jeune,et qu'il lui racontait les diverses missions qu'on lui avait confié... D'ailleurs si ses souvenirs ne lui faisaient pas défauts, i se rendait exactement là, où des années plus tôt son père se rendait... Son canasson avance lentement... Signe de main du jeune cavalier en direction de la herse... Normalement avec son mantel de Licorneux, et ses habits onéreux, on ne le prendrais pas pour un vulgaire touriste en mal de visite de monument...

Addishatz! Le Grand Ecuyer de France,m'as demandé de me rendre en ce lieu...

Malgré les mois qu'il venait de passer dans le nord du Royaume depuis son retour au Maine, son accent du sud restait toujours aussi chantant... Il baisse la tête un instant se demandant si le gade allait lui demander une preuve de ce qu'il avançait... Et il espérait que ce ne serais pas le cas... La lettre qu'il avait reçu de Zalina n'avait rien d'officiel... Juste un échange de courriers entre un filleul et sa marraine... Les eux se relève et partent à la rencontre de ceux du garde... Et vu la mine interrogateur de ce dernier il devait avoir oublié quelque chose pour compléter sa demande pour pouvoir passer en toute tranquillité... Tandis qu'il passait la main à l'intérieur de son mantel pour récupérer la missive où sa marraine lui donnait le chemin de son bureau, il se souvint d'un coup qu'il ne s'était pas présenter... La main sort aussi tôt et viens frapper son front...

Je me nomme Guilhem de Vergy, Comte de Beaumont-sur-Sarthe, Baron de Saint-Vérain, Seigneur d'Auriac, Errant et Légiste de l'ordre royal de la Licorne...

Main dextre sur la poitrine en guise de salut officiel, il attends maintenant la réponse...

Les visites s’enchainent à une vitesse folle en ce moment. Ca doit remuer aux Ecuries.
Un bel accent du sud, mais pas avec les jolies rondeurs de la dame qui n’était pas repassé par là pour le nouvel arrivant. Bon, notre pauvre garde va tout de même essayé de bien l’accueillir. Mais c’est tout de même moins agréable au regard un jeunot comme çà.
Puis d’abord, il ne s’est même pas présenté…. Ah si, çà vient.

Le garde se penche sur la liste des personnes autorisées et cherche le nom donné en bredouillant. De Vergy… il l’avait vu il n’y a pas longtemps ce nom là. Et finit par le retrouver.
Demi tour pour attraper le trousseau de clé devenu habituel et en route pour le canasson du jeune homme.

T’nez. V’là vos clés. Fais y gaffe, la Patronne n’aime pas en r’donner.
Bon, pour r’joindre les écuries, c’est tout droit. En direction d’la Tourelle Nord. D’iou, vous allez vous y cailler encore plus qu’moi là bas.
Bonne chance.

Invité

La Ch'tite miss biscuit arriva en palais après convocation pour sa nouvelle nomination.
Un immense honneur pour elle. Modeste travailleuse en son Comtat, ses petites talents de forgeron allait être mise a rude.

Son matériel principal dans sa besace, le reste serai fabriquer sur place avec le nouveau four.

Cherchant quelqu'un lettre en main maintenant chercher un visage qui l'aiderai.

Apercevant un valet en course poursuite surement contre le temps, elle lui demanda d'annoncer sa présence.

Bonjour mon brave pourriez vous annoncer que Neyco, la nouvelle Maréchal-Ferrant des Ecuries Royales est a la porte?

Tenez voici lettre d'acceptation.

Citation :: De Rhuyzar de la Louveterie, Grand Escuyer de France
A tous ceux qui la présente liront ou entendront.

Qu'il soit su qu'en ce jour nous nommons deux Sujets de Sa Majesté au sein des Ecuries Royales.

A compter d'aujourd'hui, Dame Neyco occupera le poste d'Ecuyère Royale Maréchal-Ferrant. Messire Angel von Wittelsbach sera lui Ecuyer Royal.

Si les candidatures au poste de Maréchal-Ferrant sont donc closes, nous sommes encore à la recherche de personnes prêtes à travailler au Service de Sa Majesté au sein de ses Ecuries.

Qu'on se le dise !

Donné en nos Bureaux des Offices de Paris, le 16ème jour de Mars 1458

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Citation :: Dame Neyco,

Salut !

Par la présente, j'ai la joie et l'honneur de vous signifier que votre candature a été retenue et que vous êtes acceptée au titre de Maréchal-Ferrant des Ecuries Royales.

Je vous demande de bien vouloir me répondre en me donnant vos titres exacts afin que le Grand Ecuyer Rhuyzar puisse rédiger l'annonce en bonne et due forme.
Par ailleurs, vous êtes cordialement invitée à vous présenter au plus vite aux bureaux de la Curia Regis, afin d'y recevoir vos clés et de rejoindre nos locaux.

Bienvenue parmi nous !

Cordialement,

Maëlie
Maître du Haras

Faisant son petit sourire que tous et toute connaissaient, la miss biscuit attendit patiemment qu'une bonne âme vienne la guider.

Angel Von Wittelsbach arriva à la hate , au palais après convocation .Petit carosse pour petit nobliaux de province s'arreta net devant la grande Porte , dandinement d'un petit garçon se pressant.

Angel tenait dans sa main un fer à cheval gravé aux effigies de Von Wittelsbach , petit présent de remerciement .Le regard perdu , il crut voir une jeune femme , il décida donc de s approcher vers la dame .

bONJOUR dame !!! Je suis Angel Von Witteslbach et vous meme ?

[hrp: si j'avais le temps, je ferais un méga-rp d'la mort qui tue qui déchire tout sa race où rhuyzar il arriverait les cheveux dans le vent, la cape qui vole, le regard qui tue et les mains revolver... euh nan, je m'ai gouré je crois... enfin bref, mais comme j'ai pas le temps, j'te shoote tes accès et comme j'peux aller me j'ter un godet au troquet du coin. Elle est pas belle la vie ?/hrp]

Après un long repos, Nanozevich revint arpenter les couloirs de la Curia. Il avait revettu sa tenue d'apparat aux couleurs des Faucons. Passant devant le salon d'accueil des écuries royales, il décida enfin à aller se présenter.

Bonjour, je suis Nanozevich de Triganou, Baron de Meung-sur-Loire, Seigneur de Boisgasson et Capitaine royal de l'Ost Orléanais.
Je souhaiterai avoir accès aux écuries royales afin de m'entretenir avec le grand Ecuyer de France.

» Salle d'accueil pour le rassemblement de l'Ost Royal