Accueil pour les Ecuries et Vénerie Royales - ordres de chevaleries

MacCord venait d'arriver comme lui avait demandé dame Naluria. Après avoir confié Ombre aux soins d'un garçon d'ecurie et demandé son chemin, il arriva enfin à l'acceuil de la venerie. Apparement, c'etait là qu'il devait se presenter.

Bonjour,
Je suis Jason MacCord. Je viens d'etre nommé fauconnier. Le Grand Veneur m'a ecrit pour que je me presente en ces lieux... Si toutefois je suis au bon bureau.

MacCord se sentait un peu perdu dans le fourmillement des Grands Offices.

Le Senher de Revel , Raphael Kamps, dict Raphael83, connaissait bien les lieux , pour y avoir travaillé en tant que Maitre du Haras Royal.

De plus il travaillait dans l'aile voisine en tant que Secrétaire d'Etat.

Mais c'était en tant que Chancelier de Toulouse qu'il se présenta aux Ecuries Royales, parchemin en main.

Il s'adressa donc au garde de service

Bonjorn

Veuillez annoncer l'arrivée de son Excellence Raphael Kamps, Chancelier et Secrétaire d'Etat de Toulouse , au nouveau Grand Ecuyer de France, la Comtesse Cyrielle d'Arduilet Saint-Ange, en vue d'un rendez vous avec sa Grandeur.

Une fois le garde parti , il s'assit sur le banc placé dans l'entrée et attendit patiemment qu'on vienne le chercher

L'oeil légèrement endormi, le garda fixa l'homme qui venait de le déranger pendant sa sieste estivalo-journalière...
"Quoiqu'il veut, lui??? Humpffff Encore un qui passe ici sans prendre la peine d'taper la causette avec l'pauvre gueux que j'suis.
Sont tous pressés, ces gens, d'nos jours."
Dépliant lentement sa lourde carcasse, il se leva et fit face au sieur, avant de s'en aller en marmonnant vaguement :

M'en va voir si l'dernier venu... 'fin, la dernière venue... s'ra cor là pour vous r'cevoir... C'est qu'ils filent secs, les Grands, dernièrement... Doivent vouloir batt'e des r'cords, j'vous l'dis, moué...

Et le gaillard s'en fut dans la Tourelle nord durant de longues minutes. Puis il revint enfin, une clé à la main qu'il tendit au sieur.

La Dame va vous r'cevoir dans la salle att'nante à son bureau... Vous pouvez pas la manquer... C'par là bas...

... dit-il, en montrant vaguement le Nord, où se trouvait la Tourelle en question...

Elisabeth quittait son bureau parisien pour se rendre à la Curia. Avec tous les allez retour qu'elle faisait dans les palais un jour elle les connaitrait par cœur. Certes elle préférait être à Vincennes mais il fallait venir ici pour aller là bas. Alors elle fait son devoir et suit la procédure, en même temps en tant qu'avocate elle savait suivre les procédures.
Elle chercha quelqu'un pour la renseigner et interpella un garde.

Dites, où pourrais je rencontrer la Comtesse Cyrielle d'Arduilet Saint-Ange ?

La relève avait eu lieu, tantôt en journée. Et un nouveau garde se trouvait en faction, tout frais, tout propre et tout beau.
Un peu jeunot sur les bords, un peu niais parfois mais compétant, n'en doutez pas... sinon, il ne serait pas là!!

Comme il regardait s'approcher une belle jeune femme près de lui, il ne faut pas s'étonner que ses pensées furent embrouillées au premier abord. Il faut dire que ce n'est pas tous les jours que les belles dames se présentent à lui... Mais vite, ses espoirs furent déçus, la Dame ne voulant rencontrer que Madame... Monsieur? le Grand...
Faisant disparaitre la déception qui commençait à se peindre sur son visage, il se tint droit devant la Dame et opta pour le professionnalisme de rigueur. Il lui dit alors :

Qui dois-je annoncer? Êtes vous attendue, Dame? Car point d'avancée vous ne ferez sans que je ne vérifie votre droit à l'entrant en la Tourelle Nord, vous vous en doutez bien...

Bah quoi??? On la lui fait pas à lui, les minauderies et autres, pour pouvoir passer ni vue, ni connue et faire on ne savait quoi après!!!

Le garde fit son travail, Eli se doutait bien qu'on entrait pas comme dans un moulin dans des bâtiments royaux. Ce n'était pas le cas en CA et pas chez les dragons non plus, pourquoi cela serait différents ici.

Oui je suis attendue, par la Comtesse, pour les Ecuries Royales. Annoncez Elisabeth Stilton.

Bonjour Dame Zya,

Je fais suite à votre demande et vous remercie de l'accueil que vous m'accorderez au sein des ecuries royales.
Je viens donc me présenter et vous demander les clès et les astuces pour pouvoir acceder aux ecuries sans aucun soucis
vous remerciant de vore accord pour ma candidature, c'est avec une grande impatience que je vais attendre mes passes droit

A très bientot

DAME CELISOLE

Le garde en faction vit bien la demoiselle qui écrivait sur un bout de papier quelques griffonnages. Alors, attendant patiemment que la demoiselle laisse le tout à vue, il s'empressa de jouer les curieux et de lire la missive privée qu'elle avait entreposé.

Celi... Celisole? Monsieur le Grand lui avait-il pas dit que la Dame était attendue aux Écuries???

Hep!!! Mademoiselle!!! *Et voyant qu'elle ne l'entendait pas, dit plus fort* Mademoiselle!!!

C'est pour les Écuries, que vous êtes là? Parce que la Dame d'Arduilet m'a laissé pour consigne de laisser entrer une Dame Celisole et de la mener aux Écuries, justement...
Vous zêtes cette personne là???

La voyant acquiescer du chef et lui montrer la missive privée que le Grand Écuyer lui avait envoyé, il s'empressa d'ajouter...

En ce cas, ne partez pas et suivez moi, je vais vous indiquer le chemin

Oh grande Ecuyère de France,
Merci de votre accueil mais je ne sais où aller pour jouer avec vous montrer moi encore le chemin
merci de votre accueil
dame celisole

Parchemin en poche, Altaïs se rendit à l'endroit indiqué par ce dernier. Il était tout heureux de voir son projet commencer à lui de le faire aboutir en s'en donnant les moyens. Se trouvant devant le poste de garde il descendit de sa monture et interpella le garde de faction, fort impatient de découvrir les lieux cachés derrières ces épaisses murailles. Déjà la visite de la Capitale l'avait émerveillé.

- Holà, je suis mandé par le Grand Écuyer de France, en réponse à ma candidature, de me présenter icelieu. J'uis Altaïs et cherche à me rendre aux Écuries Royales donc.

Il espéra que son sens de l'orientation en lui jouerait pas une fois de plus un mauvais tour mais l'odeur des écurie le mènerait sûrement à bon port.

Stéphandra qui passait par là entendit le nom de Altaïs, elle stoppa sa marche, tourna les talons et se dirigea vers le messire. Souriante, légère révérence et s'adressa à lui:

La bien venue messire Altaïs, je suis Stéphandra du Moutier, Maistre des écuries, nous allons vous donner votre jeu de clé pour accéder à nos offices.

(hrp: vais voir ce que je peux faire,mais logiquement la GEF est peu présente ce week end)

Alors qu'il attendait réponse du garde le jeune homme vit une femme stopper nette sa marche pour venir à sa rencontre. Comme toujours en présence de la gente féminine il rosit légèrement avant de répondre en faisait un petit salut bref et raide de la tête tout intimidé.

- Je suis heureux de vous rencontrer Maistre des Écuries et merci de vostre acceuil. Je vais patienter en vostre compagnie.

Après avoir passé un moment à discuter, les clés furent remise au messire, Stéphandra sourit et l'invita à la suivre

Messire Altais , si vous voulez bien me suivre c'est par ici

Souriante elle parcouru les couloirs avec lui

L'attente fût assez courte et agréable. Alors que ses clefs lui étaient fournies Altaïs emboîta le pas au Maistre des Écuries, bien heureux d'avoir un guide.

- Je vous suit Maistre des Écuries et vous remercie de vostre aide qui m'évitera de me perdre comme à mon habitude en tout nouveau lieu.

Ayant reçu ordre de mission, Strakastre se présenta en ces lieux.

- Le Bonjour. Je suis Charles de la Croix de Bramafan, Comte d'Isle Jourdain, mandé en ces lieux comme nouvellement Premier Escuyer de France, devant présenter ses hommages à son Grand Escyer de tutelle.

Léana se présente à l'entrée son courrier à portée de main au cas où.

Bonjour. Je suis Léana Esterazza Gambiani de Valrose. Je viens chercher les clés d'accès aux Ecuries Royales.

Elle attendit patiemment qu'une personne vienne lui ouvrir.

Elisabeth avait appris l'annonce aussi elle se présenta aux deux nouveau arrivants.

D'abord vers l'homme, rang oblige.

Bonjour monsieur je suis Elisabeth Stilton la Maîtresse du Haras Royale, nous sommes ravie de votre venue en espérant que les dossiers en attente avancent vite.

Puis vers la jeune femme.

Comment allez vous depuis le temps ?

Puis aux deux.

Vos clés ne devraient pas tarder.

Leana vit arriver Elisabeth, qu'elle connaissait un peu. Elle lui sourit.

Bonjour. Je vais très bien merci. Je suis surtout ravie d'être là.

Sourire avenant et signe de tête vers l'avant en guise de salut. Sourire entendu lorsque l'entrée en matière visa derechef le délai de traitement des dossiers en cours.

- Mes respects, Dame Elisabeth. Allons donc de ce pas nous mettre à l'ouvrage dans les tâches nécessitant certaine vélocité de traitement.

Non pas que l'emplacement de l'endroit lui soit inconnu. Du tout! Mais le Grand Maitre n'y avait jamais mis les pieds auparavant. D'une autre manière que ses pas ne l'avaient jamais mené vers plein d'autres adresses de sa connaissance... Et il y en avait tant!

Enfin bref, c'est pas tout ça mais... Si c'est au pied du mur qu'on voit le maçon... C'est aux portes du site qu'on voit le touriste! Et celui-ci semblait bien des plus vastes.

Fort heureusement, l'hôtesse l'ayant convié lui avait fourni indications précises pour aller frapper directement à la bonne porte plutôt que d'interpeler tel le benêt un quidam local...

Es acò!, se dit-il. Plus qu'à s'annoncer au préposé à l'accueil.

Bonjour... Je suis le Frère Dandolo de Pola, de l'Ordre Equestre du Saint Sépulcre. Légère inclinaison de tête pour saluer. Je viens icelieu à l'invitation du Grand Ecuyer de France pour m'entretenir avec elle.

Voila... C'était fait. L'expérience lui dictant que c'était fort rare de faire le pied de grue en attendant sa venue, il n'y avait plus qu'à attendre que la dame soit prévenue et disposée à le recevoir...

Alors qu'elle parcourait les dédales de la curia pour se rendre d'un office à l'autre, une voix attira son attention..

Quelques pas en arrière, vérification rapide,sourire qui se posa sur son minois, lentement elle s'approcha du Messire, légère inclinaison, amusée de le voir icelieu mais non moins ravie

Bien le Bon Jour , bienvenue en nos offices... Ravie de vous voir. Je souhaite que vostre entretien soit des plus agréable.

Petit sourire, elle resterait bien à lui tenir compagnie mais peut être avait il besoin d'un moment seul.

Le monde est petit, me direz-vous... Oui... Ou alors le hasard est assurément souvent bien orienté... Toujours est-il que son passage par ici ne risquait pas de passer inaperçu d'une certaine personne.

En souriant en coin, Dandolo s'inclina bien bas.

Mes hommages, Capitaine. La belle journée à vous aussi et mes sincères remerciements pour vos encouragements...

Il se redressa et glissa tout doucement: Et joyeux anniversaire, mon ange. Car il semble bien que nous soyons la saint Hubert, ce jour. Il la gratifia d'un léger clin d'oeil agrémenté d'un fin sourire.

Tss Capitaine, elle roumèguerait bien un coup mais tellement contente de le croiser ici qu'elle n'en fait rien. Pire que tout il s'inclinait en autre lieu elle lui aurai flatter euh... Bref passons.

Alors qu'il se redresse, elle lui sourit

Merci, mon amour...

Elle le regarde un instant

Si toute fois vous vous perdez et que vous ayez besoin d'un guide, n'hésitez à faire appel à moi.

Mordillement de lèvres, léger sourire, petite révérence avant de tourner gracieusement les talons, à son tour de le taquiner

La bonne journée Grand Maître, au plaisir...

Le Grand Maréchal de Logis du Roy, venait d'être informé de l'arrivée du Grand Maitre Dandolo.

Il cessa affaire tenante, ses écritures dans son bureau pour aller accueillir son Frère à l'entrée des Grands Offices.

Celui ci n'était pas seul, une tête qui lui semblait avoir déjà vue à la citadelle de Rey lui tenait compagnie.

Il s'approcha tout de même et lui fit l'accolade tout en le serrant dans ses bras.

Grand Maître, c'est un honneur de vous voir ice lieu.

Vous avez Rendez-vous avec Le Grand Ecuyer de France, n'est ce pas ?

Cela ne serait tarder a ce qu'on vienne vous chercher.

Mais je vois que vous êtes en charmante compagnie , en la personne de notre Capitaine de la garde royale.

Puis s'adressant à cette dernière

J'éspère que je ne vous fait pas fuir, belle Dame

Alors qu'elle partait, elle croisa Raphaël qu'elle avait eut l'occasion de croiser maintes fois , sans jamais pour autant avoir le temps de papoter. Stéph s'inclina respectueusement et le regarda s'adresser à Dandolo , lorsqu'il lui parla la jouvente lui sourit

Bonjorn Messer, non je vous rassure vous ne me faites point fuir... Quelques dossiers à mettre à jour.

Regard aux deux hommes, large sourire; autant elle avait les clés pour diverses salles, autant là malheureusement elle ne pouvait pas aider son tendre amour. Petit clin d'oeil à ce dernier et elle fila fissa.

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