Accueil et accès pour la Connétablie

L'enturbané arriva à son tour et fut surpris par l'embouteillage. Ca se bousculait aux portillons ! Et à bien y regarder il n'y avait que des dònas. Le métier des armes s'était féminisé. Son grand-père en aurait sans doute fait une jaunisse... Mais les temps changent comme disent les fatalistes. Du coup, galanterie oblige jdC planta une épaule dans le mur profitant de la scène. Après tout il y avait de quoi passer le temps à observer les charmantes créatures du Très Haut. Il y avait d'ailleurs quelques amusements à réfléchir au vocabulaire commun à la guerre et aux plaisirs de l'amour. Conquérir, assaillir, dominer, soumettre, posséder... Une logique pouvait donc être décelée à ce que d'avantage de femmes participent aux fracas de la guerre puisqu'elles étaient déjà rompues à ceux de l'amour.

La maréchale écouta avec un grand intérêt, quand le comte de Toulouse arriva, un sourire à son intention.

Excusez moi une seconde je vous prie.

S'approcha de Jean.

Bonjour votre Grandeur. Je vais vous faire patienter une minute s'il vous plait.
Capitaine permettez je vais aller de ce pas m’enquérir de quoi il en retourne. Un petit rafraichissement en attendant?

Et de lui montrer la petite table ou trônait quelques boissons.

Je vous en prie Jean servez-vous aussi.

J'arrivais en la salle d'accueil car depuis cet après midi mon jeu de clés ne fonctionnait plus et je n'arrivais plus à accéder à mon bureau. Plusieurs personnes étaient présente et après les avoir salué, j'attendais sagement que chacun soit renseigné.

Une fois, toutes les demandes satisfaites, je fit la mienne à mon tour.

Bonjour ! Maréchale ! Voilà je suis Lieutenant pour le Rouergue, ou du moins j'espère encore l'être ... et je n'arrive plus à accéder à mon bureau pour y travailler. Cela remonte à aujourd'hui car hier encore j'ai effectué plusieurs rapports. Qu'en est il ? Les serrures ont été changées ? Puis-je avoir un nouveau trousseau de clés ?

[hrp Désolée, les locaux sont en restructuration, voila vous avez vos clés ]

J'avais reçu les clés avec une rapidité très agréable. Avec un grand sourire je m'adressais à Alix du Vivier

Merci Maréchale pour votre diligence et votre célérité. Je vous souhaite une agréable journée.

Une inclinaison respectueuse, une salutation générale aux personnes encore présentes dans la pièce et j'étais déjà parti regagner mon bureau.

De rien Lieutenant, je ne me priverai pas d'un si bon élément.

Lui sourit gentiment et retourne vers les deux arrivants.

Excusez moi de l'attente, veuillez me suivre c'est par Ici

Invitée à se rafraîchir, la brune se tourna vers la table désignée, et se retrouva face à un homme, qui portait sur la tête, non pas une couronne mais un turban. Chose étrange pour un régnant et qui ne manqua pas d'arracher une sourire amusé à Alenyah. Elle s'avança vers la table, servit deux verres de vin et s'approchant de l'inconnu, elle lui en tendit un.

Votre Grandeur ... ou Jean ...

Nouveau sourire, légèrement taquin ...

Je suis Alenyah de Carpadant. Vous ne me laisserez pas boire seule, n'est ce pas ?

Bonjour Capitaine,

Par ici je vous prie.

Et Maud d'écouter les gens s'accueillir gentiment.. et d'apprendre un peu leurs titres. Puis Flavien.; Lui elle le reconnaissait. "Bonjour capitaine".. bah il y en avait plusieurs..
Ah! mais euh.. quel capitaine?

Et d'être avertie que la Capitaine de Bourgogne est dans les murs, ou du moins, à l'entrée.
De se lever et d'aller en lieu et place.

Bonjour Capitaine, pourriez vous me suivre s'il vous plait, je pense qu'il serait de bon ton d'avoir une discussion plus en profondeur sur un sujet important.

Tendant la main, elle l'invita à la suivre dans des locaux plus que privés.

Ah! Une nouvelle venue. Sauf que Maud ne la connaissait pas.. quelqu'un d'important sans doute..

Eh bien.. dame.. je vous suis..

Flavien sourit à la réaction de la duchesse et rectifia furtivement ses dires.

CapitaineS...Bien sûr.

Votre Grandeur ... ou Jean ... Je suis Alenyah de Carpadant. Vous ne me laisserez pas boire seule, n'est ce pas ?

Je m'en voudrais Madame de vous abandonner en pareille occasion.

Il saisit la coupe et la main qui la tendait, gage d'un premier contact, pour la porter à ses lèvres. Juste la coupe... Le maréchal ne l'avait invité qu'à profiter du buffet. Il s'en tint donc là.

J'arrivais, me demandant si c'était bien là que le Grand Maitre m'avait demandé de me présenter.
Je souris et m'adressai à la personne la plus proche.

Bonjorn , je suis Liloia de Jacetania de Baish , Grand Chancelier de l'Ordre Royal du Saint Sépulcre. je cherche le salon Kirah. Le grand Maitre Lalock m'a dit que l'on aller me donner les clés , mais ... je ne suis pas sûre d'être au bon endroit.

Comme de coutume il était à la traîne et évidemment Soeur Liloia était arrivé avant lui .... et dire que l'on prétend que les dames sont toujours en retard... faux hein !
Il s'approche de la grande porte donne un petit coup de coude a Liloia .

Aller prend pas toute la place !!! que je puisse me présenter .

Bonjour a vous je suis le Chevalier Loupameth de la Cauve Grand commandeur de L'ordre Royal équestre de ST Sépulcre , suite à la demande de notre GM , je vous demande de me donner les clés .

Il sourit à Liloia et pour la taquiner lui tire la langue !

Grand Ecuyer de passage, saluant les arrivants.

Bonjour. Bienvenue. Veuillez me suivre s'il vous plait.

Douce passe plusieurs portes....sais pas trop où il faut se présenter..peut-être là....s'approche du garde..

Bonjorn..
Je suis le Chevalier Doucebrise de Sansarsse-Leslur Capitaine de la garde du Rey ORESS..
J'aimerai rejoindre notre GM Le Chevalier Lalock..entr'autre...SVP...

La route fut longue, mais oubliant la fatigue, hawkwood se présenta à la Connétablie. Il espérait de ne pas s'être trompé d'endroit.
Il ajusta son uniforme puis se présenta au garde.
Bonjour, je suis Hawkwood Capitaine Royal.
je désirerai rencontrer la Connétable dame Karyaan

Et la dites Connétable fut appelée.
La Sombre délaissa pour quelques minutes son travail et arriva à l'accueil, détaillant le mâle qui s'y présentait.

Bonsoir

D'un ton neutre, visage de marbre

Karyaan le Verdier Lómàlas, Connétable de France. Veuillez me suivre Capitaine, que je vous fasse visiter vos locaux.

Et de tendre la main senestre pour l'inciter à la suivre.

Hawkwood salua la Connétable avec respect
Bonsoir Dame Karyaan, merci de me recevoir
Il la suivit vers ses nouveaux locaux.

de retour après quelques mois , voir années , Leg arriva à la Connétablie et se présenta au garde

Bonjour je suis Legowen du Kastel_de_Rhiannon, nouveau Capitaine du Bourbonnais Auvergne et désirerais avoir accès à mon bureau , pouvez vous prévenir de mon arrivée ?

Bonjour , je me présente Helsinki, nouvellement nommé capitaine du Lyonnais Dauphiné. pouvez vous m'annoncer ?

La souris était déjà passé dans les locaux lorsqu'elle était prévost, mais point dans les mêmes couloirs..alors elle hésita quelques peut espérant que Nakoor l'avait envoyé au bon endroit.

-Bonjour ? il parait que je suis le nouveau Capitaine Royal d'Alençon, et que je doit venir ici ?

Même pas certaine , vu qu'aucun courrier officiel ne lui avait été remit en ce sens

Et le courrier officiel avait été placardé en salle de l'Antichambre, si la nouvelle CR pense qu'en prime faut lui apporter en main propre, elle commence mal.

Il parait oui

Et la Sombre de fixer la Capitaine, visage de marbre, regard neutre.

Vous avez vos accès et je vous prie de vous rendre en vos bureaux et en salon de coordination. Et avec un peu moins de je m'en foutisme dans l'attitude, ça sera fortement apprécié.

Et de rester là un bref instant en silence, puis volte face de la Sorcière qui retourna travailler

Croulant sous le poids de l'hiver approchant, il n'y a que la Deswaard pour paraître en n'ayant pour seul compagnie qu'un soupçon de morgue et une pointe d'antipathie.
A la voir d'ailleurs s'avancer en les couloirs délicatement pavés de la Curia, l'on ne s'attendrait guère à ce qu'elle vienne d'être nommée CR du DR.
Une pelisse de petit gris recouvre ses épaules à la place de la morsure glacée du harnachement d'usage, à son côté ne bat que le vide remuant du voile de ses atours plus que l'imposante masse d'acier qu'on s'attendrait à y trouver.

Pourtant, ce qui l'amène en ces lieux n'en reste pas moins solennel.
Et c'est prestement qu'elle déviera un coursier de sa prime mission pour faire en sorte qu'il aille l'annoncer à qui de droit.