Accueil pour l'Office du Grand Chambellan

Droite comme un i, la dame brune arriva vers moi. Je me redressais et en réponse je dis:

-Oui vostre Grâce, le voyage n'a pas été très long depuis les bureaux du Grand Veneur. Je vous suis

Après plusieurs semaines de marches, il arriva enfin à destination. Lettre en main, il traversa la cour et se dirigea vers un des nombreux bâtiments de la Curia... Il donna quelques coups à la porte, un garde lui ouvrit la porte, il s'inclina face à lui et se présenta à haute voix :

" Veuillez avertir votre Mestre de ma présence, je me nomme Fancho d'Arriglia venant des contrées du sud afin de servir notre bon Roy. Précisez que je suis ce fameux troubadour qui avait écrit au secrétaire de sa Majesté.
Voici ci-joint une lettre d'Aeglos d'Orkney-Brecey, Seigneur de Montpeyroux, Grand Maitre des Ceremonies...qui prouvera mes dires"

Il tendit le parchemin, le garde le prit des mains et inclina la tête en signe de compréhension puis il s'éclipsa. Le troubadour patienta attendant une future réponse...

Le Grand Chambellan était en peine avec le décès de son époux, ce qui expliquait qu'elle fut parfois très occupée de façon personnelle.
Alors qu'elle sortait justement pour apprendre à apprécier les produits du marché, elle entends le prénom d'Aeglos son patron.

Elle sourit au garde signifiant qu'elle apporterait l'information et se présenta :

Bonjour Messire...vous venez pour voir le Grand Maître des Cérémonies? je m'appelle Asphodelle di Césarini, je suis l'Aide aux Cérémonies de la Maison Royale...l'histoire de rentrer et de l'appeler, et le voila dans quelques minutes.... Grand sourire et décampe.

Aller zou !

La jeune femme avait eu le parchemin qui l'a nommait officiellement auprès de la Reyne. Fierté quand meme dans le regard, meme si elle tentait tant bien que mal de le dissimuler. Elle etait donc invitée à rejoindre les locaux de la Curia, ce qu'elle fit par cette belle matinée, froide mais ensoleillée. Ne sachant pas trop ou aller, elle s’arrêta au premier bureau et se presenta au garde

Le bonjour, je suis Heloise Victoire de Troy, Demoiselle de Compagnie de sa Majesté la Reyne, l'on m'a invité à venir icilieu, pourriez vous m'indiquer le chemin à prendre je vous prie?

Elle lui tendit le parchemin qu'elle avait eu, juste au cas ou

Après la présentation de l'aide de cérémonie, il s’assit donc en attendant le sieur Aeglos... Il croisa les jambes et contempla au loin une dame de compagnie de la Reyne. Il lui adressa un sourire et plongea un moment dans ses pensées

Aeglos était? euh, et bien à la bourre et debordé. Il arriva donc en tel une tornade en salle d'attente et vis asphodelle, un homme et une autre dame, bon, il devait y en avoir au moins un à lui dans le tas.
Enfin, deux si on compte asphodelle.

Bonjour à tous, Aeglos d'Orkney-Brecey, grand maitre des ceremonies, pages du GCF, ect. Bref.
Je suis ici pour..

consulte rapidement sa fiche, un troubadour qui fait de la musique, normalement, enfin, un troubaboure quoi, pourquoi il a des fiches aussi peu precise lui, rah, pas bon ça. Il faudrait qu'il fasse des fiches plus precises, jusqu'a la date de la premiere dent de lait de la victime, euh, de l'arrivant.

Fancho d'Arriglia, Troubadoure de son état.
Es ce vous messire?

Puis se tournant vers la dame, la blonde donc parce qu'aspho elle connait le chemin, c'est une grande fille. On ne rit pas au fond, deja que j'essaye de ne pas le faire.

Hum, je crois pas que ce soit à moi de vous accuellir donc... je vais me renseigner

Il hela un page, lui demanda de trouver presto Akane pour avoir l'information, une ptite piecette pour motiver et se tourna vers les deux, plus aspho mais pas concerné.

Avez vous tous fait bonne route?

Il se leva, s'inclina face à lui, le toisa de haut en bas

En effet, la route fut longue mais en de bonnes conditions. Je suis bien ce fameux troubadour qui avait écrit dans un premier temps au secrétaire du Roy, au dauphin puis à votre égard. Je me présente face à vous afin de divertir sa majesté.
J’excelle dans l'art de la poésie, je ne joue guère d'instrument, mais l'essentiel est de satisfaire le Roy et sa cour...

Esquissa un sourire, et contempla un moment la beauté des lieux

On voit la motivation : les lettres, plus l'attente ici...plus l'accueil par Aeglos...elle fit un clin d'oeil à celui-ci pour rappel de ses bizutages de despote de Grand Maître....

La poésie...aaaaah...il me plairait de vous entendre dans nos moments perdus cher Fancho...j'espère que vous y conviendrez...

La jeune femme s'etait assise tranquillement dans un des fauteuils qui tronaient fièrement la. Rendant son sourire au messire devant elle, oups esperons qu'elle ne lui soit pas passé au nez tiens., elle salua aussi la Dame qui se trouvait la, et tapotait des doigts sur ses genoux quand le Grand Maitre des ceremonies arriva.

Se levant, petite reverence, bah quoi ? ca fait toujours chic non?

Hum, je crois pas que ce soit à moi de vous accuellir donc... je vais me renseigner
Avez vous tous fait bonne route?

Laissant celui qu'elle decouvrait comme le troubadour, repondre, elle sourit en l'ecoutant, un troubadour qui ne sait pas jouer d'instruments? Bah un peu comme une dame de compagnie de sachant pas broder, tiens, elle s'entendrait bien avec.. Puis prit ensuite la parole

Un très bon voyage aussi de mon coté, c'est un endroit magnifique , impressionnant meme ..

Ah ca oui elle etait impressionnée, se reculant un peu, elle reprit place sur son fauteuil, laissant le jeune troubadour subir un petit interrogatoire, meme si ca n'en avait pas l'air.

Après s'être présenté face au maitre des cérémonies, il prit place au côté de cette fameuse dame de compagnie. Il posa son regard sur elle, et échangea quelques mots sur qui il était, d'où il venait et quel était le but de sa venue en ces lieux.

Il fût coupé par l'aide de cérémonie nommée Asphodelle, inclina sa tête l'écoutant ce qu'elle avait à dire puis lui répondit :

"Ma dona, je me ferais une joie de vous conter quelques vers, qui j'espère ne vous déplairont point... En outre, mes poèmes sont réservés à la personne du Roy et à sa cour, mais à vous, je pourrais faire exception... De plus que mon fidèle pigeon sera à votre service, si vous mandez de la poésie à lire au coin du feu"

Oh! merci bien...les poètes ne sont en effet pas légion...à cela prêt manqué son feu fiancé.

Elle se tourne alors avec un sourire vers la jeune femme qui était également arrivée pratiquement au même moment : Bienvenue à la Curia Dame...le Grand Chambella ne devrait plus tarder...*

[hrp : elle sera de retour demain samedi]

Et la brune d'arriver, doucement une main sur son ventre qui portait la vie, et toute de blanc vêtue.
Elle portait une robe de deuil, elle, en robe...
Ses cheveux couleur de jais au lieu d'être tressés retombaient dans son dos jusque dans ses reins.

la normande avisa de ses azurs les personnes présentes et reconnut facilement la dame de compagnie de la Reyne. L'homme devait être le fameux troubadour qu'il faudrait " tester ".

- Bonjour à tous deux, nous vous attendions... Akane Giffard - De Clairval, Grand Chambellan de son état, du moins, ce qu'il en reste...

Un salut à Asphodelle, et à Aeglos, et plus bas

- Merci d'introduire la jeune Heloise là où il se doit. Quant à nostre messire troubadour, faîtes lui préparer une ode à Ses Majestés... Je m'en retourne à mes bureaux.

Il écouta les deux petits nouveaux, nous baissant pas le regard suite à "l'étude" du troubadoure, pas vraiment du genre à le faire, surtout en se moment. Il eu neanmoins un leger sourire et leurs repondit.

S'il s'est bien passé, c'est l'essentiel, et puis je suis sur que les voyages vous aide à trouver inspiration pour vos poemes donc?

Alors pas un musicien, bon pas de soucis, plus simple à evaluer alors, car niveau musique, il n'y connaissait fichtre rien. Au deux.

Oui, le Louvre est Magnifique, mais si le Tres Haut le veux, vous vous habituerez vite au palais royal.

Il vit akane arrivait, tiens une robe, ça lui allait tres bien d'ailleurs, il faudrait qu'il lui dise, s'il n'oubliait pas avec d'autres affaires plus pressantes. Il l'écouta et sur le meme ton lui repondit.

Pas de probleme, repose toi bien.

Il se retourna vers le Troubadour.

Et bien! en parlant d'inspiration, j'espere que vous en avez, car pour tester vos compenses, pourriez vous preparer une ode sur le couple royale?
Envoyez un page me chercher quand vous aurez terminé, que vous puissiez preparer tranquillement.
En attendant, Demoiselle de Troy, si vous voulez bien me suivre au salon d'accueil, que vous soyez presenté à vos nouveaux collegues.

Il vit successivement l'intervention du grand chambellan prenant ses airs de noblesse, et celle à nouveau d'Aeglos. Il écouta tour à tour, chacune de l'intervention, se leva de nouveau et prit la parole :

Je m'exécute sur le champ, vous aurez le poème dans les temps sieur Aeglos. Permettez que je prenne place...

Il s'assit dans la grande salle voutée, tapissée au plafond de fleurs de lys. Il sortit de sa besace un support pour écrire, une plume et un parchemin. Il commença à griffonner sur son velin les vers suivants :

(en préparation)

La jeune femme avait un peu discuté avec le futur troubadour, une place bien difficile.. Comment amuser un couple Royal? La etait une question qu'elle se posait au fur et a mesure de la discution.. Elle s'amusait de tout, donc forcement peu dur a trouver, mais pour les autres, misère.. Mais en l'ecoutant parler a la Dame qui le recevait.. ahh un manipulateur de bons mots, voilà qui serait intéressant. Leger sourire envers la dite Dame

Bienvenue à la Curia Dame...le Grand Chambellan ne devrait plus tarder...

Je vous remercie ma Dame

Resourire, bon c'est sur qu'il n'en fallait pas beaucoup pour la voir ainsi, mais bon, .. ET voici le Grand Chambellan, se relevant, belle reverence, et un soulagement en la voyant. Meme si elle n'avait echangé que quelques mots, ca lui avait semblé plutot positif. Par contre ce blanc..Beaucoup le portaient pour des noces, choses inconcevable pour elle.. Aurait-elle perdue quelqu'un? Discretion cependant, ce n'etait pas à elle de lui poser la question.. meme si parfois ca fait du bien d'en parler.. enfin bref,

- Bonjour à tous deux, nous vous attendions... Akane Giffard - De Clairval, Grand Chambellan de son état, du moins, ce qu'il en reste...

Ravie de vous revoir Dame Chambellan

Et c'est vrai qu'elle l'etait.. Mais encore plutot curieuse a tenter de saisir les petits mots qu'ils s’échangeaient,. Comment ca la curiosité est un vilain defaut .? , mais pas du tout ! Juste que c'est bien de se tenir au courant non?

En attendant, Demoiselle de Troy, si vous voulez bien me suivre au salon d'accueil, que vous soyez presenté à vos nouveaux collegues.

Re re sourire..

Fort bien je vous suis Messire,

Puis en passant près du jeune troubadour, un "bon courage" lui fut discretement lancé dans la tache qu'il allait devoir accomplir.. Un Poème.. Chose dont elle etait incapable de faire.

Parfait maitre troubadour.

Leger sourire de l'Orkney et comme la dame de compagnie suivait, il se dirigea vers la salle d'accueil.

La revoilà qui arpente des couloirs tant connu. Elle était de retour dans les offices royaux.
Il ne lui restait qu'à attendre que quelqu'un vienne l'accueillir.

Elisel était venue deux fois dans ce Palais. Les deux fois, pour des levées de ban. Rien à voir avec de la couture. Pas les mêmes ailes, pas les mêmes personnes à côtoyer, - enfin, elle le supposait - Autant dire qu'à son arrivée, la baronne était complètement perdue, et ressentait une pointe d'appréhension.
Quelques bonnes âmes voulurent bien la guider jusqu'à l'endroit indiqué sur l'annonce de son affectation, et c'est avec circonspection qu'elle entra dans la salle d'attente.

Une personne patientait là, qu'elle reconnut pour l'avoir croisée plusieurs fois à la Guilde. Son futur chef...
Elle se remémora les mots de l'annonce, le visage indéchiffrable. Elle ne pensait pas du tout que les candidatures finiraient comme ça, avec deux postes pourvus au lieu d'un. Une farce ? Une nécessité ? Le meilleur choix possible ? L'avenir seul le dirait.

La baronne s'approcha, prenant soin de faire bruisser sa tenue pour se faire entendre et ne pas surprendre son interlocutrice.
Arrivée près d'elle, elle la salua d'une brève révérence, accompagnée d'un signe de tête appuyé.

Dame... Le bon jour.

Elle l'avait à peine côtoyée auparavant, n'avait pas vraiment eu le temps de se faire une opinion sur la personne, et les rumeurs n'en disaient pas que du bien.
Dire si peu de mots ne devrait pas la placer en situation trop délicate. Si elle n'était pas d'humeur à parler, elle attendrait en silence, et voilà tout.

Ah les rumeurs, on entend de tout, il existe même une légende selon laquelle Elisabeth terrasserait des montres par son éloquence tel Ogma. La blonde se moquait des rumeurs et encore plus de ceux qui les lançaient. Elle était ce qu'elle était, une acharnée du travail bien fait qui menait de main de maitre un ordre d'avocat et un atelier. Elle avait d'ailleurs ses propres nominations à faire quand elle rentrerait à l'hôtel Volpone. En attendant elle attendait, original n'est ce pas, quand un bruit de tissus se fit entendre.

De mémoire, et Elisabeth en a une bonne, c'était son Maître de la Garde Robe qui arrivait. Elle l'avait rencontré la première fois lors du défilé organisé pour le Roi Levan par la Baronne Pentièvre, puis à différentes occasions. Il ne restait plus qu'à espérer qu'elle travaille avec elle car c'était la seule chose que la blonde désirait. Elle avait un tas de projets en tête et espérait que la jeune femme aussi qu'elles puissent ainsi travailler en concertation pour faire progresser l'office qui était assez mort en ce moment il fallait bien l'avouer. C'est donc tout naturellement qu'elle se présenta.

Le bonjour, baronne. J'espère que vous êtes en pleine forme car nous allons avoir du travail.

Ah bah...? Elle ne mord pas ?
Elisel s'attendait à une rebuffade, une pique bien sentie, voire même de l'indifférence, et... rien ! Apparemment, la Grand-Maître se souvenait d'elle, il n'y avait en tout cas aucune lueur de questionnement dans ses yeux. Un point positif ? Tout dépendait des souvenirs qu'elle gardait en mémoire.
Pour sa part, Elisel avait en tête une méprise, due à leur diminutif commun, et la Stilton qui avait passé un savon à sa Ju. Plus tard, les deux Blésoises en avaient ri, mais sur le moment...

Deux Eli, deux blondes, dans le même office, ça promettait !

Un sourire sur les lèvres, la baronne répondit.

Je suis en forme. Assez j'espère pour pouvoir vous seconder efficacement.
J'ai hâte que nous partagions nos idées, pour cet office dont finalement je ne connais que peu de choses.

Puis, passant du coq à l'âne, elle enchaîna sur un autre sujet. Là aussi, c'était des bruits qui s'étaient répandus dans la capitale, et qu'elle avait captés sur la route.

J'ai entendu qu'un incendie s'était déclaré dans votre atelier. Tout le monde va bien ? Pas trop de dégâts ?

Il avait été prevenu par un page du louvre qu'il y avait encore de nouveau arrivant. Apres avoir recuperé les deux noms dans le bureau d'Akane avec sa permission, Aeglos en casquette page du GCF alla à l'entrée pour recuperer les ptits nouveaux.
Voyant deux femmes regroupés, il se dit que cela devait etre elles, il s'approcha, leger sourire et se presenta.

Bonjour, Aeglos d'Orkney-Brecey, je viens pour accueillir la nouvelle grand maitre de la garde robe et la nouvelle maitre de la garde robe.

Il observa les deux dames, elles semblaient correspondre, il attendit qu'elles se presentent avec le petit document, en sommes une copie de l'annonce qu'elles avaient du recevoir pour la validation de la candidature et tout serait bon.

La réponse de la femme lui convint parfaitement. Il ne leur restait plus qu'à attendre qu'on leur laisse accès à leur lieu de travail. Le sujet suivant n'était pas le préféré de la blonde mais il était normal qu'on lui en parle.

Oui on a eu quelques blessés mais rien d'insurmontable. Pour les pertes ça dépend des artistes, Lubin a tout perdu, après nous avons tous plus ou moins perdu quelques créations. L'atelier n'est qu'un tas de pierre. Enfin l'avantage est que les matières premières transitent tous par nos boutiques parisienne ce qui fait que le plus gros du stock est sauvé. Et puis nous avons tous nos mécènes aussi. Non on aurait pu avoir pire au final.

Elle en était là de la discussion quand un blonde arriva. Que de blond n'est ce pas. Celui là aussi elle le connaissait, il avait fait partie de l'équipe de campagne de Nicolas.

Bonjour. Vous les avez devant vous. Je suis Elisabeth Stilton de Vaisneau et voici Elisel d'Andeol.

Elle écouta la réponse de la femme, grimaçant à l'évocation des pertes matérielles.
Rien qu'à l'idée de perdre certains de ses patrons, elle avait des frissons. Cela lui était arrivé une fois, et l'expérience était assez déplaisante pour ne jamais vouloir la renouveler. Alors perdre tout, ses patrons, son matériel, elle avait du mal à imaginer, et ne voulait pas s'étendre sur la question !
Par contre, elle avait l'habitude d'être couturière itinérante, et même si elle pouvait déplorer la destruction de l'atelier, les pierres de son point de vue étaient moins importantes. Mais peut-être aussi parce que ce n'était pas l'atelier auquel elle était rattachée...

Elle s'apprêtait à ouvrir le bec pour exprimer son soulagement quant aux artistes qui semblaient saufs, si ce n'est sains, quand un homme fit irruption.
Elle se tourna vers lui et hocha la tête délicatement quand la Dame la nomma.

Nom inconnu, visage inconnu, cri muet : Céki ??? Décidément, elle aimait toujours aussi peu se retrouver dans un monde où elle ne connaissait quasi personne. Sa mémoire allait être mise à contribution, si elle ne voulait pas passer rapidement pour la campagnarde de service.

Et bien, au moins la grand maitre de la garde robe était rapide. Il se souvenait l'avoir deja vu quelque part, mais il ne se souvenait plus d'ou, mais avec le nom, il se rappela que c'était pour la campagne. Leger sourire de l'Orkney avant de repondre.

Et bien tout est parfait.
Je vous pris de me suivre au salon d'accueil pour reccontrer vos nouveaux collegues.

La deuxieme nouvelle lui disait également quelques choses. Il avait du la croiser à l'Herauderie mais n'était pas sur. Bref, il verait bien avec le temps.