Accueil pour l'Office du Grand Chambellan

Arnault d'Azayes hum un lontain cousin apparement qu'elle ne connaissait pas. En même tant question famille la jeune fille s'en accomode guère. Elle souria au sieur avant de mander à un page d'aller informer la PMF de l'arrivée de son panetier puis reporta toute son attention sur l'Azayes.

Bien enchantée Messire D'Azayes. Je suis Agnès de Carpadant, la Première Dame de la chambre soyez donc le bienvenu, nous aurons peut être à oeuvrer ensemble pour Sa majesté. J'ai fais prévenir la Premier Maitre d'Hotel de votre arrivé elle ne saurait tarder.

Il ne fallut guère de temps à Eilinn pour arriver à l'accueil de l'office du Grand Chambellan. En même temps, le Premier Maitre d'Hotel était généralement assez facile à trouver, vu qu'il passait 90% de son temps aux cuisines.

Damoiselle Agnès, le bonjour. Merci de m'avoir fait prévenir.

Au nouveau venu.

Messire d'Azayes, bienvenue au Louvre. Nous sommes en train de vous préparer un jeu de clés pour que vous puissiez visiter les lieux.

[ljd actarius a été prévenu, il devrait pouvoir donner les accès bientôt]

Le voilà qu'était perdu..il était déjà venu par le passé,mais jamais,grand jamais pour l'office du grand Chambellan,non,il avait postulé au Secrétariat d'Etat.Bien différent,n'est ce pas?

Cette fois ci,il fut nommé maréchal des logis royaux,donc il vint en ces lieux et...

Le Bonjour...je me présente, Kingrade de la Roche Nouet,je viens d'être nommé à la charge de maréchal des logis royaux.

Raphael fut informé de l'arrivée du nouveau Maréchal des logis de sa Majesté, et s'empressa d'aller l'accueillir.

Bienvenue, Messire, en la Maison Royale....Et toute mes félicitations pour cette nomination.

Si vous voulez bien me suivre...c'est par ici Very Happy

C'est mon baptême! Ah non réflexion faites ca ne l'était pas, je me recouchais. Jusqu'à que Rolan ce satané Rolan vieille truite me leva de mon sommeil. Je balbutiais:

-C'est mon baptême?

Rolan...moustaches longues me dévisagea et m'annonça:

-Mais non voyons, aujourd'hui vostre père veut que je vous accompagne au Louvre. C'est vostre premier jour Demoiselle, boudiou allez levez vous.

Ah oui c'est pas mon baptême mais c'est mon premier jour. En fait, j'avais une si grande boule au ventre que j'avais fait exprès d'oublier. Sans dire ouf, voilà que deux meschines m'asticotaient pour que je sois propre et bien habillée. Prince Grenouille et Niania ne devaient pas venir avec moi pour cette occasion, j'étais assez déçue, mon père disait que c'était trop barbare et enfant d'emporter mes deux compagnons fidèles. Père et ses recommandations...Grumpf.
Après avoir eu envie de rendre deux fois sur les pieds de Rolan, on arriva jusqu'à l'entrée, et d'un seul et même coup il me propulsa devant. Grumpf. J'ai peur moi.

-Allez petite Blackney file

Et en plus il m'appelait petite. Comment pouvait-on me prendre au sérieux après ça? Je me présentais lisant le petit mot que Père Chat avait fait pour moi.

-Bonjour Monsieur, je suis Hélène Blackney, fille d'Alcalnn Blackney, petite fille de William Blackney, chevalier de son état, j'ai été convié par Tante...Euh Dame Agnès ma gardienne et grande dame à venir me présenter ici. N'oublie pas de sourire ma chérie.

Je souriais donc m'apercevant que je venais de lire ce que père m'avait marqué en plus petit.

Ce matin un lapin… ah nan ça c’est pour la PSE. Ce matin une jeune fille devait venir à la cour. C’était une gamine qui avait des chiffons euh compagnons mais qui l’espérons ne les avait pas prit. C’est ce que se demanda Agnès après avoir été informer de la venue du bonbon rose.
Arrivée dans le salon elle découvrit avec soulagement que Niania et la grenouille n’avait pas fait le voyage. Oufff déjà ça.

Bonjour demoiselle. Avez-vous fait bonne route ?

Inspection rapide de la gamine, ça elle ne pouvait se retenir de le faire, habitué qu’elle était de l’avoir vu pleine de sucre sur les joues durant son séjour de Pâques. Nouveau soulagement elle semblait parfaitement présentable. Oeuvre du père ou bien de la mesnie qui devait subir les caprice, si, si et autres idées farfeulu de la demoiselle.

Je regardais le garde avec le sourire, toujours ou presque. Il m'emmena dans une sorte de logis bien habillé avec des jolies tissus, j'aimais les beaux tissus au désespoir de mon père et à l'espoir de tante Pandorha. J'attendais jusqu'à que Dame Agnès la grande vint. Elle m'inspecta, je sentais pas le bouc pourtant. Père voulait que je garde mon côté sauvage avec le Mont Saint Michel. Je lui souriais, et je dépliais à nouveau le vélin laissé par père chat.

-Ahem il n'y a pas de réponse à votre question Madame sur mon papier.

Je cherchais vite des yeux une réponse à fournir, je m'appelle Hélène...blablabla...sourit ma chérie...blabla mais il avait mis où la réponse à la question. Je relevais la tête un peu en panique.

-Rolan mon garde m'a sortit du lit à coups de pieds aux fesses. La route fut bonne. Je suis un peu nerveuse je m'excuse

Toujours s'excuser même si on ne sait pas pourquoi. J'espérais voir mon ami Eldric dans les parages.

-Que dois je faire pour vous aider à présent?

Heureusement que j'avais révisé mes leçons!

Elle avait connu la jeune fille triste, enjouer, colérique aussi sans doute bien qu’elle ne s’en souvenait plus. Mais la voir aussi perdue l’étonna grandement. Elle semblait chercher sur un papier ou plutôt chercher sur the papier vu la façon dont elle s’y rattachait. La réponse à la question. Ahem quelle question ? Elle ne se souvenait pas en avoir posé qui mérite que la réponse soit sur un papier. Dans sa missive peut être ? L’accord d’Alcalnn elle l’avait déjà euh mais quelle question ???
Surtout que cela semblait mettre la Blakney en grande panique, jamais elle n’avait vu son regard parcourir un écrit si rapidement. Non non il y avait un problème. Même pour les leçons que la demoiselle ne lisait pas avec tant d’empressement.

Tout va bien ?

Puis la gamine enchaina. Des coups de pied…voila qui allait en s’améliorant. C’est quoi ça encore ? Pauvre enfant si jeune et déjà traité à la dure. Elle savait le passé militaire du duc mais tout de même, sa fille n’était pas un soldat. Elle fit mine de ne pas réagir trop mais nota pour elle qu’elle ira en toucher deux mot au père de l’enfant.

Bien je suis ravie qu’elle se soit bien déroulée. J’ai crains que la redécouverte des rues parisiennes ne vous déplaise. Nous iront prochainement je pense.

Puis la voyant toujours mal.

Ne soyez pas si nerveuse demoiselle. Tout va bien se passer nous allons de ce pas vous [url= https://curiarr.forumactif.org/t4875p45-accueil-des-petits-ou-grands-nouveaux#120320]présenter aux officiers [/url] puis nous verront ensemble vos premières tâches.

Laquais servile Nombre de messages : 32 Date d'inscription : 19/01/2011

Elle revenait pour la première fois depuis un bon moment.

Bonjour, je dois me présenter pour avoir une tenue pour le sacre de la reyne. je suis Louise de Malemort. J'avoue être un peu perdue par tous les couloirs. Pourriez-vous me renseigner s'il vous plait?

Touraine... Près de son fiancé... La Malemort tentait de travailler à distance. Mais elle n'avait qu'une hâte rentrer... rentrer chez elle, prêter main forte aux soldats de ses maigres... très maigres connaissances militaire et de sa faible force... Mais qui pourrait refuser son aide ? beaucoup c'est vrai maintenant qu'on l’appelait "votre Altesse", ce qui avait le don de l'agacer quand il s'agissait de personne proche.

Une lettre de sa mère, pour la convier à rejoindre l'office pour préparer le sacrement. Une réponse rapide, pour lui dire qu'elle arrive au plus vite. Et l'heure de retrouver son fiancé. Lui dire qu'elle part pour Paris, lui proposer de l'accompagner. Il accepte. Les chevaux sont prêt. Et la route est prise quelques heures seulement après la première missive de sa mère... Ben quoi... Quand la Reyne dit Urgent... ben c'est urgent...

La voiture avance à un rythme soutenu, et la Malemort s'est blottit dans les bras de son fiancé, la conversation est essentiellement basé sur leur prochain engagement. Savoir qui invité, où le faire, qui officiera, et quels vêtements ils porteront...
Et finalement, la Malemort devenue princesse, s'endormira contre lui...

Et puis le chemin continue pour mieux les amener à bon port... Pierre louis déposait dans une auberge non loin d'elle. Et une Malemort qui se fait conduire là où on est censé l'attendre. Descendre de la voiture, conduite dans les couloirs. On la laisse là devant un garde et...

Louise !

Un sourire. Ravie de revoir sa soeur. Alors que le garde la regarde avec insistante.

Je suis Elisa de Lahaye Malemort. Je viens suite à la demande de la Reyne, sortez vos plus beaux tissus !

Puis se tournant vers sa soeur, grand sourire sur les lèvres.

Comment vas-tu ? Et la Champagne ?

Arnaut pénétra à la suite de ces deux sœurs. Alors qu'Elisa transpirait la beauté, Louise elle, suintait la vertu. Au moins, ils étaient réunis. Il espérait secrètement pouvoir foutre un tacle à Louise, mais tressaillait en lui la peur de se faire maraver sa jolie p'tite gueule de Prince ! A quelque jour à peine du sacre royal, on peut dire que ça la fou mal... Et puis par une fille ! Si les Malemort femelle était de véritable garçon manqué, les Malemort mâle, enfin surtout Arnaut, était quelque peu coquet. C'est son coté métro-sexuel...

- Le bon jour vous va mes chères sœurs !

Puis à un garde qui poireauté là :

- Je suis Arnaut de Malemort, ici également sur demande de notre mère pour notre parure princière !

Laquais servile Nombre de messages : 32 Date d'inscription : 19/01/2011

Se pare d'un grand sourire pour Elisa et lui plante un baiser sur sa joue.

Elisa, contente de te revoir si peu de temps après le mariage. Comment vas-tu? La Champagne eh bien ça va.

Arrive la demi portion de frère. Sa main la démange mais elle n'en laisse rien paraitre. Sursaute en l'entendant se "nounouyer". Quelle nouille celui-là. Déjà on se fiche de lui dans tout le royaume mais maintenant il se donne du "nous". Il devrait se retenir le "chéri-chéri" parce que pour le moment il n'était rien d'autre qu'un morveux sortant juste de ses couches.

Arnaut quelle bonne surprise. On t'a enlevé tes langes? Tu peux maintenant mettre une tenue digne de ton "Nous"?

Atchouuuuuuuuuuum!

Erf elle était toujours malade. Tous les jours je venais voir si elle allait mieux mais non, notre Grand Chambellan restait au lit sous ordres du médecin.

Bon repos ma marraine

Puis je partis, il y avait du bruit, moi, petit page, je vins à la rencontre des personnes. Je fis une révérence et je demandais.

Bonjour, je suis Hélène le page de nostre Grand Chambellan, puis-je tenter de vous aider?

J'avais précisé tenté car amenée ici depuis peu je ne reconnaissais jamais les bonnes portes. Un problème que je tentais de résoudre.

A sa sœur, sans cesse désinvolte, ses paroles de défiance comme arme à l'amour. Plutôt crever qu'ouvrir son cœur, hein ? En vérité, Louise était jalouse parce que même Arnaut avait des hanches à mourir ! Faisant semblant de s'endormir, et de tomber avant de s'exclamer

- Oh pardon tu disais ? Désolé, mais je ne fais pas encore mes nuits...

A 14 ans, on est quand même plus sensible à l'insulte qu'à l'hommage... Toutes blessent, la dernière tuent. Surtout celles de sa sœur. Puis se tournant vers la petite page du grand Chambellan.

- Bonjour jeune fille. Pour l'aide, c'est surtout ma sœur Louise qui en a besoin... Connaitriez-vous un bon marie ? En vérité, c'est notre mère qui nous envois. Il parait qu'ici, nous allons pouvoir trouver de quoi nous vêtir pour le couronnement. Des habits dignes de prince et princesse. Pouvez-vous nous guider ?

Tortillant une mèche blonde j'attendais qu'on me sonne. Ce qu'on fit, je dois dire que la première question était plutôt étrange. Un mari pourquoi faire? Les hommes ca ne sert à rien. Euh...Devais je donner mon avis? Ils allaient me prendre pour une sauvage sortant de mon beau Rocher où je chassais et m'amusait. Mon Prince à moi c'était une grenouille qui devait m'embrasser le jour des quatorze ans.

-Euh pour le bon mari non. Désolée.

Puis pour la deuxième question j'avais la réponse oui. Dame Ayena.

-Oui je vous emmène vers la grand chef de la garde robe. Suivez moi je vous prie.

Et sans essayer de paniquer, je tentais de les amener jusqu'à Dame Ayena.

https://curiarr.forumactif.org/t5228-rp-preparation-du-futur-sacre-section-garde-robe

Pierre s'était logé à l'auberge, il ne voulait pas déranger cette réunion de famille à laquelle il n'était pas vraiment convié. Mais peu après il décida finallement de jeter un oeil, faut dire que ne pas voir sa bien aimée, c'était dur ses derniers temps. Il était vraiment accroc. Il passa par la petite porte à l'arrière, il avait travaillé ici il y avait de cela quelques temps et il lui restait une ou deux connaissance.

Il se glissa parmi les couloirs vers l'entrée et au détour d'un angle aperçu sa douce et le reste de la famille. Une dame était avec eux. Il attendit que le petit groupe s'éloigne pour rattraper ce qui semblait être une dame importante.

Excusez moi,bonjour, je suis pierre louis de villefort, fiancée de la belle Elisa de lahaye malemort. J'aurai aimé savoir si je pouvais assister à ses essayages.

Pierre attendit, se faisant discret pour ne pas déranger.

Cela faisait beaucoup de monde pour moi mais je gardais la tête haute. Le grand chambellan était malade il fallait bien faire bonne impression pour ne pas avoir ses remontrances.

-Oui Messire je pense que c'est possible. Plus on est de fous plus on rit, n'est-ce pas là un proverbe?

Je me disais que peut être je m'étais encore trompée dans celui ci ce n'était pas plutôt quand le chat n'est pas là les souris dansent. Et puis pourquoi les souris dansent les chats aussi savaient danser...Mon précepteur allait s'arracher la tête un jour à m'expliquer.

Pierre sourit a la jeune femme. Il ne savait pas si il était prévu ou si n'importe qui aurait ou entrer mais peut importe l'essentiel étais qu'il soit proche de son aimée.

Je vous suis alors.

Laquais servile Nombre de messages : 32 Date d'inscription : 19/01/2011

Un homme pour les voir se déshabiller. Non mais non, ah non... Momaaaaaaaaan. Mais il pensait à quoi lui là.
Elle jeta un œil désespéré à Élisa tenant un appel au secours vers sa grande sœur, et par la même sentant ses joues devenir écarlate soit de pudeur, soit de confusion, soit de colère devant l'impudence de la demande.

Elle tira la manche de la dame.

Vous êtes sûre qu'il peut? Ils ne sont pas mariés vous savez. Et moi je ne veux pas qu'il me voie sans robe.

HRP le lien marche pas:
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Camille passait dans les couloirs de la maison royale à la recherche de la Duchesse d'Auxerre quand elle tomba sur une scène des plus cocasses. Un fiancé tellement amoureux qu'il en oubliait que dans la notion d'essai de robe il y avait la partie de retrait des vêtements qui semblait à juste titre affolée la plus jeune des filles Malemort.

S'avançant d'un pas léger et pour venir en aide à la jeune page de la Chambellan, la demoiselle Blackney qu'elle appréciait chaque jour un peu plus, elle se décida à jouer la diversion mondaine que ces demoiselles partent se charger de jupons sans un homme dans les pattes. Quoi Arnault? Mais non elle n'a pas pensé qu'il n'était pas homme mais en tant que frère, il n'en avait certainement pas les attributs aux yeux de ses sœurs ce qui simplifierait l'équation.

Faisant un signe discret à ces demoiselles de partir à leur tâche, elle s'avança vers le vicomte.

Pierre Louis, vous ici? Quelle surprise! Je ne pensais pas vous croiser icelieu. Peut être venez vous postuler à un des Offices Royaux?

Regarde louise en souriant, puis avant même qu'il ne réponde, il voit camille l'alpaguer. Que faisait-elle ici? Il lui semblait qu'elle était à l'ambassade, pas à trainer dans les couloirs, il avait sûrement raté une étape.

Non je ne viens pas postuler, je viens soutenir ma charmante fiancée. Et donné un avis d'un tendre vicomte aimant, sur la tenue qui lui siéra le mieux.

Se tournant vers la page et louise;

Il allait bien de sois que dans les périodes où ces demoiselles seraient dévêtus j'aurai quitté la pièce, pour ne les voir que dans leurs plus beaux atours et donner un avis surtout pour ma chère Elisa. Je tiens à ma vie et j'ai quand même un minimum de respect. Et arnaut alors? Moi je veux pas qu'il voit ma future épouse nue, namého... Mais si vous ne voulez pas soit.

Tout juste le temps d'arriver et voilà le petit frère qui arrive.

- Bonjour mon Naut !

Puis répondant à louise qui était venue lui embrasser la joue. Tout sourire la Malemort.

Je vais très bien. J'ai hâte de pouvoir commencer les essayages.

Et une jeune fille vient les couper. Un page... Hum... Arnaut qui ouvre la bouche... Parfait il s'occupera des mondanités... Il est à la hauteur pour ça... quoi que... il raconte un peu n'importe quoi là...

- Nous ne sommes point là pour lui trouver un mari. Naut, cesses donc tes idioties !
Nous vous suivons, demoiselle.

Et alors qu'on emboitait le pas à la jeune page. Une voix retentis derrière eux... Une voix familière... Non... une voix... Non... Sa voix... La Malemort se retourne ni une ni deux... et elle le voit... Un sourire qui s'illumine sur son visage... la Malemort qui fait demi tour pour mieux venir glisser sa main dans celle de son fiancé. Maintenant qu'il est là... hors de question de le laisser repartir.

- Quelle merveilleuse surprise ! Tu vas pouvoir m'aider à choisir la robe !

Son regard se pose sur sa soeur qui semble inquiète. La Malemort se retient de rire.

- Voyons, Pierre Louis sait se tenir. Il ne nous rejoindra qu'une fois habillée. Où allez vous chercher ces idées.... Franchement... Rassurez vous mon tendre amour... Arnaut restera également à sa place tant que nous ne serons pas vêtue. Nous n'irons pas gâcher notre pureté, ma soeur et moi même.

Sa main reste dans la sienne... Un regard vers la jeune page.

- Nous pouvons y aller ?

Pierre louis voit Elisa faire demi tour. Un peu déçu, sa surprise est gâchée à cause des deux autres. Mais toujours heureux de la revoir, surtout quand elle glisse sa main dans la sienne. Il se permet même un baiser furtif sur la joue et lui sourit.

Il l'écoute parler, sourire grimpant, elle avait tout compris elle, ils étaient sur la même longueur d'onde. Bon le petit layus sur arnaut fût à peine rassurant, il connaissait l'engin et savait qu'il était dur de le tenir. Mais bon, au pire il lui mettrait une baffe.

Se tournant vers camille, il la regarda d'un air de dire *et toc, la princesse a dit oui, na!*. Regardant la jeune page avec un sourire il ajouta:

On vous suit.

Laquais servile Nombre de messages : 32 Date d'inscription : 19/01/2011

Oui ben hein un homme c'est un homme et bon même si la voilà un peu rassurée, le fiancé ne l'émeut guère et sa soeur a des allures de "maman quand elle est passée à l'église". Il manquerais plus qu'ils se léchouillent en plus ... Un frisson la parcours. Eh ben elle jamais un homme ne la léchouillera. Et si il essaie il verra de quoi sont faits les Malemort et une partie basse s'en souviendra longtemps. Elle a appris plus petite que cet endroit était le plus sensible chez les garçons et mettrait en application ce qu'elle savait.

Elle soupira résignée à devoir partager ce moment un peu que de filles avec un homme. Quand à Arnaut.. il ne comptait pas lui, c'était pas un homme c'était un frère. En plus il était plus petit même si il se prenait pour un grand des fois. Elle le regarda et faillit pouffer de rire en l'imaginant avec une fille. Ah ben non pas possible ça, vraiment pas.

Elle fit écho à sa soeur

Nous pouvons y aller?

O secours les gens ils me font peur...J'avais du mal à comprendre le sens profond de la dîtes conversation lorsque impassible je me pris une porte fermée sur le nez.

Outchhhhhh

Mais pourquoi elle est close cette porte? Je frottais mon nez vigoureusement. Grumpf. Heureusement Dame Camille venait à mon secours! Il fallait bien l'aide de quelqu'un car là je m'en sortais pas du tout. Le nez douloureux je demandais à Dame Camille:

Je n'arrive pas à ouvrir cette maudite porte, vous avez la clé?